Comment je suis devenue l’esclave de mon amie

Catégories : Femmes soumises sexuelles Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 6 ans

Histoire érotique : une femme soumise dans l’âme s’abandonne totalement aux mains de sa Maîtresse qui va en faire une véritable esclave sexuelle.

Une fois de plus, mon mari était en déplacement. Un de plus, une séparation supplémentaire. Huit jours. Huit jours, qui font suite à six auparavant, juste séparés par une dizaine de jours de présence. Toutes ces absences me pesaient, mais je n’osais en parler à Paul. Il me semblait épanoui dans ce job qui demandait beaucoup.

Nous habitions un grand appartement, dans une résidence de luxe, au quatrième et dernier étage. Chaque étage comportait deux appartements. Nous étions mariés depuis cinq ans et je n’avais pas dû voir mon mari plus d’une année, peut-être moins. Lorsqu’il était présent, nous ne faisions pas beaucoup l’amour. Il pensait surtout à ‘recharger les batteries’, comme il disait. Ce qui faisait de moi, une femme frustrée.

Je ne suis pas à proprement dire un canon. Non, je peux dire que je suis jolie, sans plus. Un mètre soixante-dix, cinquante-trois kilos, quatre-vingt-dix, bonnet D, soixante, quatre-vingt-dix, voilà pour mes mensurations. J’ai les cheveux châtain clair, mi long, les yeux noisette et je porte des lunettes. J’ai tout juste trente ans.

Pour combler le vide de l’absence, je travaillais dans un cabinet d’expert-comptable, où je gagnais bien ma vie. J’avais lié connaissance avec une jeune femme, de cinq ans ma cadette, au cours d’un repas, que je prenais habituellement dans une cafétéria proche de mon bureau. Depuis trois mois, Nous nous retrouvions, tous les midis, pour déjeuner ensemble. Je lui confiais tous mes soucis, et elle était devenue ma confidente exclusive. Je lui racontais plus de choses qu’à mon mari.

Ce vendredi, j’avais pris ma journée, afin de faire les magasins, en compagnie de Claudine. J’arrivai devant le café où nous avons rendez-vous, mon amie et moi. Je la vis, sur la terrasse, me faire un petit signe. Je garai la voiture et la rejoignis. Après l’avoir embrassée, je m’assis en face d’elle et commandai un expresso. Elle remarqua tout de suite mon air tracassé et me demanda ce qui se passait :

  • C’est Paul. Il est encore en déplacement !

  • Encore ?

  • Oui. Cela fait déjà vingt jours en un seul mois.

Elle eut une moue indéchiffrable et nous nous tûmes un moment. Claudine me regardait d’un air coquin. Au bout d’un temps qui me parut bien long, elle me lança :

  • Bon, si nous allions flâner dans les magasins.

C’est lorsqu’elle se leva que je constatai la quasi transparence de son chemisier, qu’elle portait sans soutien-gorge et la taille ridiculement courte de sa jupe. On devinait ses minuscules seins et ses aréoles roses, aux tétons légèrement plus foncés. Le chemisier s’arrêtait au-dessus de la taille et laissait voir son nombril percé. Je restai un moment interloquée, avant de ressentir une bouffée de désir pour elle.

Il faut dire sur Claudine est très belle. Malgré un corps plutôt androgyne, elle est très féminine, avec ses petites fesses rondes, ses longues jambes, ses yeux d’un bleu très pur, ses cheveux longs, couleur des blés. Elle est plus jeune que moi de dix ans et je ne lui connais pas de petit ami. J’avais déjà, à de nombreuses reprises, ressentit ce que je savais être du désir pour elle. Mais jamais comme aujourd’hui.

De la voir ainsi, je sentis de nouveau mon ventre se crisper. Cette fois-ci, je sus ce que cela voulait dire. Claudine m’attirait. Et pourtant, je ne me sentais pas lesbienne. Je n’avais jamais eue de relations homosexuelles.

  • On prend ta voiture, me dit-elle, en me prenant la main, la mienne est en révision.

Je tressaillis au contact de la main de mon amie. Le sentit-elle ? Elle f o r ç a mes doigts à s’écarter et emmêla les siens avec. Je me sentais toute chose et je sentis ma culotte s’humidifier. Que se passait-il en moi ? Lorsqu’elle me lâcha pour passer de l’autre côté, je ressentis une frustration comme je n’en avais jamais connue.

Je regardai mon amie entrer dans ma voiture. Lorsqu’elle s’assit, elle me dévoila tout son entrejambe, recouvert d’un string, du moins, c’est ce que je pensai, en voyant l’étroitesse de la bande de tissu cachant son intimité. Je restai bouche bée, pendant qu’elle fixait sa ceinture. Je repris conscience lorsque j’entendis sa voix goguenarde :

  • Tu as vu le diable ?

  • Non… non, excuse-moi ! Je démarre.

  • Tu n’as jamais vu un string ?

  • Si, si. Allons-y !

Je démarrai, pour couper court à toute autre question, mais Claudine ne semblait pas décidée à me lâcher :

  • Ça t’a plu ?

  • Claudine, arrête !

  • Quoi ? tu vois ma culotte et tu restes bouche bée, comme si tu n’en avais jamais vu !

  • Non, je n’en ai jamais vu, et encore moins mis !

  • Tu veux voir encore ?

  • Tu es folle, lui dis-je d’une voix mal assurée, la rougeur de mon visage s’accentuant plus encore, si cela était possible.

  • Tu veux voir ? Dis-moi que tu veux.

  • Arrête !

  • Allez, n’aie pas honte, dis-le moi !

  • D’accord, montre … Montre-la moi encore, fis-je, d’une voix déformée par le désir.

Claudine décolla ses fesses du siège et retroussa sa jupe sur les hanches. Je fis une embardée et rattrapai de justesse la voiture. Elle me montrait tout son ventre, à peine voilé par l’étroitesse du sous-vêtement. Le rouge aux joues, je ne pouvais détacher les yeux du pubis de mon amie. Je sentais, entre mes cuisses, ma chatte palpiter, trempée de mouille.

  • Je crois qu’il vaut mieux arrêter là, rit-elle, en se rajustant, sinon, tu vas avoir la mâchoire bloquée et tu vas nous faire avoir un accident.

Pendant quelques instants, je conduisis en silence. Je n’osais plus regarder Claudine, ne pouvant accepter le fait que j’avais osé lui demander une telle chose. Elle finit par rompre le silence :

  • Finalement, je n’ai plus envie de faire du shopping. Si nous allions plutôt en forêt ?

  • En… en forêt ? Balbutiai-je, troublée !

  • Oui, au bois Marchal, tu veux ? répondit-elle en me caressant la main.

  • D’acc… D’accord, m’étranglais-je en répondant.

Nous roulâmes pendant un bon quart d’heure dans le silence le plus complet. Je n’osais pas regarder mon amie, et, pourtant, je sentais souvent son regard sur moi. Enfin, nous arrivâmes au bois.

  • Où veux-tu que je me gare ? Lui demandai-je, avec une assurance que j’étais loin de ressentir.

  • Au fond, près de la maison forestière.

Je gagnai donc le parking du fond et me garai près de la maison. Claudine descendit et attendit que j’aie fermé les portières pour s’engager dans un petit chemin, que je n’avais pas remarqué. Je la suivis rapidement. Elle marchait devant moi. Ses fesse ondulaient langoureusement et je ne pouvais en détacher mon regard. Pourvu qu’elle ne s’en rende pas compte. Je sus que mon espoir était vain lorsqu’elle me lança :

  • Tu regardes mon cul ? Il te plait ?

Je restai interloquée. Cette fille avait des yeux derrière la tête, ou quoi ?

  • Alors, répond ! Il te plait, mon petit cul ?

  • Oui … finis-je par répondre, au comble de la gêne.

  • Tant mieux, car bientôt …

  • Bien … bientôt quoi ?

  • Tu vas voir. Ça y est, on arrive.

Nous venions de quitter les grands arbres, pour déboucher dans une clairière. Claudine s’arrêta net au milieu et je faillis la percuter. Elle se retourna soudain, me prit la main et posa ses lèvres sur ma bouche. Je sentis sa langue tenter de f o r c e r la barrière de mes dents. Subjuguée, je cessai de résister, ouvrit la bouche. Sa langue se mit à jouer avec la mienne et je fondis contre elle. Je sentais ma culotte se tremper comme jamais. Ma chatte dégoulinait. Mon dieu, quel effet me faisait cette fille ! Elle s’en rendit compte rapidement. Elle me lâcha la main, prit les côtés de ma robe et la remonta jusqu’au hanches. Sans cesser de m’embrasser, elle me pelota les fesses, à travers la culotte, puis passa une main sur mon pubis, la faisant glisser entre mes cuisses. Ses doigts rencontrèrent mon entrejambe trempé et elle gloussa dans ma bouche. Elle se dégagea de ma bouche et me regarda, sans cesser de passer ses doigts sur ma chatte toujours voilée.

  • Tu es trempée, Céline.

  • Oui. Je suis toute excitée.

  • Par moi ?

  • Oui, chérie, oui. C’est toi qui m’excites. Depuis si longtemps !

Aussi soudainement qu’elle m’avait embrassée, elle s’écarta de moi, me laissant un goût d’inachevé dans la bouche. Je restai là, les bras ballants, la robe retroussée sur les hanches, la culotte trempée à l’entrejambe, nettement visible. Elle alla se placer contre un arbre tout proche et me regarda. J’attendais un signe d’elle. Je savais déjà que j’étais tombée sous sa coupe et qu’elle me ferait faire tout ce qui lui plairait.

  • Retire ta culotte, me lança-t-elle soudainement.

Je m’exécutai, en la regardant dans les yeux. Je fis glisser le sous-vêtement le long de mes cuisses, puis, levant les pieds l’un après l’autre, je retirai ma lingerie. Cela fait, je me redressai et remis les bras le long du corps, gardant ma culotte poisseuse à la main, la chatte et le cul à l’air. Claudine fixa ma toison, quelque peu négligée, fit la moue mais ne dit rien.

  • Approche, fit-elle d’une voix rauque, chargée de désir.

Lorsque je fus à un mètre environ d’elle, elle me fit signe de m’arrêter. Ce fut à son tour de s’avancer. Elle me contourna et je sentis une main se poser sur mes fesses. Elle caressa un moment les globes, puis un de ses doigts s’introduisit dans la raie, cherchant l’anus. Je ne cherchai même pas à serrer les fesses pour résister à cette caresse indécente. Au contraire, je me décontractai, la laissant jouer avec mon œillet. Lorsqu’elle cessa, je ne pus retenir un soupir de dépit.

Je sentis Claudine se coller contre moi, la bouche contre mon oreille.

  • Tu aimes cela ?

  • Oui, j’aime.

  • Qu’est-ce-que tu aimes ?

  • J’aime que tu me caresses les fesses.

  • Tu crois que ce sont tes fesses que je caresse ?

  • Non, c’est… c’est mon… mon anus !

  • Exprime cela différemment !

  • Différemment ?

  • Plus cru, si tu préfères. Allez, dis-le.

  • J’aime… j’aime que tu caresses mon… mon trou… mon trou du cul.

  • Eh bien, voilà, c’est si difficile que cela ?

  • Non, ma chérie.

Elle me claqua v i o l emment la fesse, et me lança :

  • A partir de maintenant, tu me diras mademoiselle et tu me vouvoieras, d’accord ?

  • Mais… mais, je…

Elle agrippa de nouveau ma fesse et y enfonça ses ongles, me griffant durement :

  • D’accord ?

  • Oui !

  • Oui, quoi ?

  • Je vous vouvoierai et vous appellerai mademoiselle.

  • Bien, tu as compris. Suis-moi.

Claudine repartit vers l’arbre et s’y adossa. Elle me regarda et me dit :

  • A genoux, et lèche-moi !

  • Pardon ?

Elle m’agrippa les cheveux, plaqua mon visage sur sa jupe et me lança durement :

  • Tu es conne ou quoi ? Je t’ai dit de me lécher. Bouffe-moi la chatte ? Fais-moi jouir.

Vaincue, je laissai tomber ma culotte, remontai sa jupe sur ses hanches, et contemplai de près le sous-vêtement, humide à l’entrejambe, qui voilait toujours son intimité. Sans le retirer, je le fis glisser de côté et j’eus enfin son sexe devant mes yeux. Elle écarta plus encore les cuisses pour me faciliter l’accès à sa chatte. Je sentais son odeur, une odeur douce, chaude, légèrement poivrée, et je m’en enivrai. Une main impérieuse plaqua ma bouche sur le sexe glabre de la jeune femme. Je sortis la langue et commençai à la lécher. Son goût valait son odeur et je plongeai avec délectation entre les lèvres de sa chatte, me repaissant de sa mouille. Elle ne tarda pas à réagir et des petits coups de reins accompagnèrent bien vite mes coups de langue. Je m’emparai de son clitoris et le fit rouler entre mes lèvres. Elle ne tarda pas à jouir, en me plaquant le visage contre son pubis, me retenant par les cheveux.

Enfin calmée, elle me repoussa. D’une façon obscène, je me léchai les lèvres, afin de ne rien perdre de son nectar. Elle me fixa et, rabaissant sa jupe, me lança :

  • Tu es une belle salope. Tu lèches comme une reine.

  • Merci mademoiselle.

  • Ça t’a plu ?

  • Oui mademoiselle. J’ai beaucoup aimé !

  • Qu’est-ce que tu as aimé ?

  • Vous … vous bouffer … la … chatte, mademoiselle.

  • Ça y est, tu te décoinces ?

  • Oui mademoiselle. Mademoiselle ?

  • Oui ?

  • Je … je voudrais … Je voudrais être votre salope !

  • Ma salope ?

  • Oui, mademoiselle. Je voudrais que vous fassiez de moi ce qu’il vous plaira. Je désire vous être soumise, être votre esclave, votre objet sexuel. Vous obéir en tout et ne rien vous refuser.

  • Tu es folle ?

  • Oui mademoiselle, de vous!

  • Tu es prête à tout pour moi ? Pourquoi ?

  • Je vous aime, mademoiselle.

  • Houlà, en voilà une déclaration. Es-tu sûre de bien vouloir cela ?

  • Oui mademoiselle. Mettez-moi à l’épreuve, vous verrez !

  • Retire ta robe !

Je fis glisser la fermeture éclair de mon vêtement et j’enjambai ma robe. J’étais nue devant Claudine, pour la première fois. Je savais toutefois que ce ne serait pas la dernière, si elle m’acceptait comme esclave. Elle s’approcha de moi, passa la main sur un de mes seins, en saisit le téton et le pinça fortement. Je gémis de douleur et me courbai pour échapper à la t o r t u r e .

  • Redresse-toi, me lança Claudine, sans cesser de m a l t r a i t e r mon téton.

Je me redressai et elle s’empara de l’autre, tenant à présent mes deux tétons dans ses mains. Ses ongles remplacèrent très vite ses doigts et je poussai un cri de douleur lorsqu’ils s’enfoncèrent dans la chair tendre.

  • Alors, tu as toujours envie d’être ma chose, ma salope ?

  • Oui, mademoiselle, haletai-je, la voix cassée par la douleur. Je veux toujours être votre salope, votre chose, votre pute.

  • Tu feras tout ce que je t’impose, sans discuter ?

  • Oui mademoiselle !

Elle relâcha mes seins. J’eus le réflexe de frotter les bouts pour faire disparaître la douleur, mais je me retins. Elle me fixa un moment, puis reprit :

  • Et ton mari ?

  • Mon mari ?

  • Oui, ton mari !

  • Il est absent pour huit jours. Il peut s’en passer des choses, en huit jours, mademoiselle.

  • Tu sais que je peux être extrêmement sévère ?

  • Oui mademoiselle, je le sais.

  • Comme tu veux. Relève-toi ! Nous retournons à la voiture. Non ! Laisse ta culotte ici. Ta robe, reprends-la à la main.

J’hésitai un instant, puis, je repris le chemin du retour, la robe froissée à la main, suivie par Claudine. Elle me fit monter, nue, dans la voiture, côté passager. En s’installant au volant, elle me dit :

  • Boucle ta ceinture, mets les mains dans le dos et écarte les cuisses. Voilà, comme cela.

Je fis tout le trajet retour ainsi. Claudine prit un malin plaisir à ralentir chaque fois qu’elle voyait quelqu’un au bord de la route, ou qu’elle doublait un cycliste. Il y en eu même un qui faillit tomber, en me voyant, nue, dans cette voiture.

J’avais honte de cette situation, et, en même temps, j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Hélas, tout a une fin et nous entrâmes bientôt dans mon parking. Ma maîtresse me fit sortir et boucla les portières. J’appréhendais la montée, que ce soit par les escaliers ou l’ascenseur. Claudine me fit entrer dans la cabine et me fit mettre contre la paroi, les mains dans le dos. Heureusement, personne ne monta dans l’ascenseur et nous parvînmes au cinquième étage sans encombre. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil vers la porte de mon voisin. Je crus apercevoir un éclair de lumière dans l’œilleton. Avais-je rêvé ?

J’entrai à la suite de Claudine. Elle se rendit dans le salon et s’assit dans un fauteuil. Ne sachant quelle attitude adopter devant elle, je restai debout, les mains dans le dos.

  • Tu es bien sûre de ce que tu veux ?

  • Oui mademoiselle. Je pense vous avoir prouvé ma volonté.

  • Ça ? Ce n’était rien ! Si tu décides de t’en remettre à moi, ce sera bien pire.

  • Je suis prête, mademoiselle.

  • Tu es folle, Céline ! tu ne sais pas de quoi je suis capable.

  • Montrez-le-moi, mademoiselle. Je vous suivrai.

  • Pourquoi ?

  • Parce que … Parce que je … vous aime, mademoiselle !

  • Tu m’aimes ?

  • Oui, mademoiselle.

  • Quand as-tu découvert cela ?

  • Ce matin, mademoiselle, en vous voyant, si belle, si désirable. Mais cela vient de plus loin. Seulement, je ne voulais pas l’admettre !

  • Ecoute, je vais m’en aller. Tu vas réfléchir jusqu’à demain matin. Si tu es toujours décidée, retrouve-moi, au café de Flore, à dix heures. Sache qu’à ce moment, tu n’auras plus d’échappatoire. Tu seras entièrement à moi et je ferai de toi ce qui me plaira, compris ?

  • Compris mademoiselle. Mais pourquoi attendre demain ?

  • Parce que je te le demande !

  • Bien, mademoiselle. J’attendrai, mais je ne changerai pas d’idée.

  • Au revoir, Céline.

Claudine s’approcha de moi et déposa un doux baiser sur mes lèvres. Je me sentis fondre. Je n’eus pas le temps de répondre. Le temps que je reprenne mes esprits, elle était partie.

Nue, je m’agenouillai devant le fauteuil où elle était assise, quelques instants plus tôt, et je frottai mon visage, cherchant la chaleur, l’odeur que son corps avait pu y laisser. Je restai ainsi une bonne demi-heure, puis je me levai, me rendit dans la salle de bain. Je faillis prendre une douche, mais j’eus une réminiscence de son odeur sur mon visage et j’y renonçai.

Tout le reste de la journée, je retournai mon aventure dans ma tête. J’étais passée de bourgeoise sérieuse à salope dépravée, enfin, un peu dépravée, en quelques heures.

Pendant ce laps de temps, je suis tombée amoureuse de ma seule amie, une gamine de dix ans ma cadette. Pourquoi ? Comment ? J’étais bien incapable de me l’expliquer, mais c’était ainsi. J’avais aimé ce baiser, cette douleur lorsqu’elle avait torturé mes tétons, l’odeur et le goût suave de sa mouille. J’avais aimé qu’elle me f o r c e , qu’elle m’oblige, bref, qu’elle me domine. J’allais abandonner mon corps et mon âme à Claudine. Elle allait devenir ma maîtresse, et moi, son esclave docile.

Lorsque je me couchai, ma décision était prise et je m’endormis comme un bébé.

Le lendemain, je m’éveillai de bonne heure. J’avais la main entre les cuisses et la chatte trempée. Pourtant, je ne pensais pas m’être caressée pendant la nuit et je ne me rappelais pas avoir joui. Je me levai, enfilai des sous-vêtements, une jupe ample, un corsage à bouton et attendit avec impatience l’heure de mon rendez-vous.

J’étais tellement impatiente que je partis une heure à l’avance. Sur le palier, une fois de plus, je vis mon voisin. S’il ne descendit pas avec moi, je vis, à son regard, qu’il devait avoir vu quelque chose hier. Je rougis en m’engouffrant dans l’ascenseur.

J’attendis dix heures, en buvant plusieurs cafés, regardant l’heure toutes les cinq minutes. Lorsque je la vis arriver, mon cœur manqua un battement. Elle était toujours aussi belle, même si ses yeux étaient cachés par des lunettes noires, à effet miroir. Aujourd’hui, elle était vêtue d’un jean, moulant ses hanches et ses cuisses fines, d’un tee-shirt à fines bretelles, toujours sans soutien-gorge. Ses cheveux étaient réunis en queue de cheval, et étincelaient sous le soleil. Je me levai pour l’accueillir et elle m’embrassa sur les lèvres, baiser que je ne lui refusai pas, malgré la présence de nombreuses personnes. Elle commanda un café et me regarda :

  • Alors, tu es décidée ? Fit-elle suavement.

  • Oui mademoiselle !

  • Tu vas sans doute le regretter !

  • Je ne le pense pas, mademoiselle.

  • Tant pis pour toi, je t’aurai prévenue. Bon, nous allons faire un essai ? je te propose huit jours de soumission. Le temps de l’absence de ton mari. Si tu veux continuer, on signera un contrat. D’accord ?

  • D’accord mademoiselle !

Elle dégusta son café et me demanda des nouvelles. Qu’avais-je fais après son départ ? Je lui racontai tout, le fauteuil, le refus de la douche, afin de garder son goût et son odeur le plus longtemps possible.

  • J’espère que tu en as pris une avant de venir, cochonne !

  • Non, mademoiselle. Il faut aussi que je vous dise : Je crois que le voisin m’a vu nue, hier.

  • Tu crois ?

  • Oui. Je l’ai croisé ce matin, sur le palier. Son regard avait changé. Je suis sûre qu’il m’a vue.

  • Eh bien, si nous allions nous en assurer ?

  • Pardon mademoiselle ?

  • J’ai dit, allons nous en assurer.

  • Bien mademoiselle, fis-je d’une voix tremblante.

Nous retournâmes chez moi et sur le palier, Claudine alla sonner chez mon voisin. Je priai pour que celui-ci fût absent. Au moment même où nous allions faire demi-tour, la porte s’ouvrit et mon voisin apparut.

  • Oui, c’est pourquoi ? dit-il.

A ce moment, il me vit, cachée par mon amie, et un sourire éclaira son visage.

  • Ah, madame Leray, je ne vous avais pas reconnue. Que puis-je pour vous ?

  • Nous aimerions vous parler, si vous avez un instant, répondit ma maîtresse.

  • Bien sûr, entrez, je vous en prie.

Il nous fit entrer, nous conduisit au salon et nous fit signe de nous assoir. Claudine s’assit dans un fauteuil, et, avant que je ne pus faire un geste, me désigna le sol à côté d’elle. Je m’agenouillai à ses pieds, lorsqu’elle me lança :

  • Jambes écartées, mains derrière la nuque.

Ecarlate, j’obéis, faisant face à mon voisin. S’il parut surpris, il n’en montra rien. Il reprit :

  • Que puis-je pour vous, mesdames ?

  • Mon esclave me dit que vous l’avez vue nue, hier, lorsque nous sommes rentrées.

  • C’est exact. Je n’imaginais pas que cela puisse exister ici.

  • Cela vous choque ?

  • Pas du tout, chacun fait ce qui lui plait.

  • Est-ce qu’elle vous plait, monsieur ?

  • C’est une jolie femme.

  • Vous la baiseriez ?

  • Je crois que vous ne devriez pas vous moquer des gens comme cela, mademoiselle.

  • Je ne me moque pas. Elle m’obéit en tout, et si elle vous plait, elle est à vous, n’est-ce-pas, salope ?

  • Oui mademoiselle. Si vous le désirez, je veux qu’il … qu’il me baise.

  • Alors ?

  • D’accord !

  • Occupe-toi de monsieur. Permettez-vous que je filme ? N’ayez aucune crainte, votre visage n’apparaîtra pas. Juste celui de cette salope.

  • Si vous voulez. Pourrai-je en voir une copie ?

  • Bien sûr. Allez, salope, au boulot.

A quatre pattes, je m’approchai de lui, débouclai la ceinture, déboutonnai le pantalon et le lui retirai. La bosse de son slip ne laissait aucune imagination à son état d’excitation. Je sortis la queue de son slip et la regardai. Elle était plus épaisse que celle de mon mari, mais plus courte, plus v i o l ette aussi. Je le branlai doucement, puis j’embouchai le membre tendu. Frank m’avait toujours dit que j’étais une bonne suceuse. Mon voisin semblait apprécier le traitement. Je n’hésitai pas à sucer, en avalant entièrement la hampe, lui lécher les couilles, lui aspirer le gland. Au bout d’un moment, il manifesta l’envie de me baiser. Il me fit retirer ma culotte, me mit en levrette et s’enfonça d’un coup dans ma chatte. Pas besoin de lubrifiant, la pipe que je lui avais taillée m’avait bien excitée. Il commença à me besogner en me tenant par les hanches, et à m’injurier :

  • Ah, salope, elle est bonne, ta chatte. Tu la sens, ma grosse bite, hein, espèce de truie. Tu es une vraie pute. Tu aimes te faire baiser, hein, salope.

Sous ses insultes et ses coups de boutoir, je commençai à perdre les pédales. Je me mis à haleter et à lui répondre.

  • Ah, mon salaud, tu me la mets bien. Oh oui, baise-moi. Baise ta pute, tringle ta salope.

Je ne me reconnaissais plus. Moi, d’habitude si timide, je me lâchais. Quelque chose en moi, une digue de bons sentiments, s’était rompue. J’étais devenue une salope, une chienne qui voulait se faire baiser, encore et encore. Ce que ne se privait pas de faire mon voisin.

La saillie, v i o l ente, animale dura près de dix minutes, sous les yeux amusés de ma maîtresse. Puis je sentis que l’homme allait jouir. Ses mains se crispaient sur mes hanches et ses coups de reins devenaient désordonnés. J’avais envie de le sentir jouir dans ma chatte.

  • Je peux jouir dans sa chatte ? Demanda le voisin, en s’adressant à ma maîtresse.

  • Bien sûr. Tant pis pour cette conne si elle ne prend pas la pilule et qu’elle se fait foutre en cloque, répondit Claudine.

Cette phrase, si vulgaire, déclencha mon orgasme, aussitôt suivi de celui qui me bourrait la chatte. Je le sentis se crisper, donner un dernier coup de rein comme s’il voulait me défoncer l’utérus, et je sentis trois ou quatre jets de sperme s’écraser contre mes parois vaginales. C’était la première fois que je ressentais cela. Jamais, avec Frank, je n’avais autant ressenti de plaisir et de sensations.

Il se retira et me présenta sa bite, couverte de son sperme et de ma cyprine. Je me jetai dessus pour la nettoyer. Là encore, j’avais toujours refusé cette pratique à Frank. Je sentais le sperme couler de ma vulve et s’étaler sur mes cuisses. Une fois la bite nettoyée, je revins m’agenouiller près de ma maîtresse.

  • Ça t’a plu, salope ? me demanda-t-elle, souriante.

  • Oui, mademoiselle. Je suis votre salope. Vous pouvez tout exiger de moi.

L’homme, qui s’était rhabillé sans un mot, me regardait bouche bée. Il devait regretter de n’avoir pas tenté sa chance plus tôt. Claudine se leva, me fit signe d’en faire autant et, avant de partir, dit à mon voisin :

  • Aujourd’hui, c’était gratuit. La prochaine fois, si vous voulez la baiser, ce sera payant. Et seulement après mon accord.

  • Bien sûr, mademoiselle. Mais comment je pourrai vous contacter ?

  • Je vous laisserai un mot dans votre boîte aux lettres, le moment venu.

  • Merci mademoiselle. Je vous raccompagne.

Il referma la porte derrière nous et je sentis son regard par l’œilleton jusqu’à ce que nous soyons rentrées. Je serrai les cuisses, pour essayer d’empêcher le sperme de couler, mais en vain. Des coulées atteignaient déjà mes genoux et elles se voyaient nettement.

  • Tu prends la pilule ?

  • Oui mademoiselle.

  • Tant mieux, cela t’empêchera de tomber enceinte. Va te laver. Tu pues le sperme.

  • Bien mademoiselle.

Je me déshabillai dans la salle de bains et fit couler l’eau. J’entrai sous la douche et me lavai. En me nettoyant, je me rendis compte de mon évolution. Je venais de me faire baiser par un inconnu et je n’en éprouvais aucun remords. J’avais pris mon pied, sous l’œil de ma maîtresse et j’en étais fière. Mon mari était bien loin de moi, en ce moment.

Je sortis de la douche, m’essuyai et, nue, je retournai dans le salon, m’agenouiller aux pieds de Claudine, écartant les cuisses, mains derrière la nuque, comme elle me l’avait appris. Elle fixa ma toison et me dit :

  • Ce n’est pas possible, cette touffe. Je veux que tu sois imberbe de la moule. Je veux voir ta chatte en permanence, et non pas cette ridicule touffe de poils. Va m’enlever cela. Tu as de quoi ?

  • Oui mademoiselle. Mon mari a un nécessaire de rasage.

  • Alors dépêche-toi d’enlever tout cela … non, finalement, attend. Je vais téléphoner à mon esthéticienne. Je pense qu’elle pourra faire cela.

Elle décrocha le téléphone, composa un numéro et commença à parler, en mettant le haut-parleur.

  • Bonjour Estelle, c’est Claudine.

  • Bonjour Madame, comment allez-vous ?

  • Très bien, et vous ?

  • De même. Vous avez besoin de mes services ?

  • Oui, enfin, pas pour moi. Pour mon esclave.

  • Vous avez une esclave ?

  • Oui, une femelle docile.

  • Elle est gouine ?

  • Elle accepte tout, les femmes, les hommes…

  • Ok, amenez-la-moi. C’est tranquille en ce moment.

  • D’accord, on arrive.

Claudine raccrocha et me dit :

  • Va t’habiller. Met une robe courte. Pas de sous-vêtements.

  • Bien mademoiselle.

Je revins très vite, dans la tenue demandée et nous partîmes chez l’esthéticienne.

C’était une femme d’une quarantaine d’années. Elle nous conduisit dans une pièce aux lumières douces et tamisées. Elle me fit déshabiller et m’installa sur une table recouverte d’un drap. Elle m’inspecta sous toutes les coutures et livra son diagnostic à ma maîtresse.

  • Elle n’est pas trop poilue, pour une brune. Ça devrait aller vite. Laissez-la-moi là une heure.

  • D’accord, à tout à l’heure.

Elle embrassa Estelle sur la bouche et s’en alla. Je ressentis une pointe de jalousie, dont s’aperçut l’esthéticienne. En s’emparant des ciseaux pour tailler ma toison, elle me dit :

  • Cela ne sert à rien d’être jalouse, tu sais, elle t’a choisie, toi et pas une autre.

  • Excusez-moi, madame, répondis-je ne rougissant, c’est encore très récent. Je commence mon dressage.

  • Tu sais que tu vas en baver, avec Claudine ?

  • Oui madame.

Elle se tut et se concentra sur son travail. Bientôt, ma toison ressembla à un champ de blé après la moisson. Estelle reposa les ciseaux et saisit le pot de cire qu’elle avait mis à fondre. Elle commença à étaler de larges bandes avec une spatule. Lorsqu’elle en eut placé trois, elle posa le pot et, me fixant dans les yeux, me dit :

  • Ça va tirer, tu es prête ?

  • Oui madame !

Je ne pus retenir un petit cri lorsqu’elle arracha la première bande. Sans me laisser le temps de souffler, elle arracha la suivante, et, dans la foulée, la troisième. La peau me cuisait mais la douleur était supportable. Je regardai mon pubis. La moitié gauche était totalement lisse, rougie par la cire. Elle s’empara de nouveau de la cire et attaqua l’autre côté. De nouveau trois bandes, trois arrachages et je retrouvai mon ventre aussi lisse qu’à ma naissance.

  • Il faut encore épiler les lèvres et la raie des fesses. Ne bouge pas, cela va tirer plus encore.

Lorsqu’elle arracha la bande de cire qui couvrait le côté gauche de ma chatte, je ne pus retenir un cri de douleur. Cela faisait vraiment mal. Un deuxième cri m’échappa pour l’autre côté. Elle me fit ensuite me mettre à plat ventre, écarter les cuisses et épila ma raie. La douleur fut diffuse et je supportai très bien l’épilation.

  • Ne bouge pas, me dit Estelle, je vais te passer une huile adoucissante.

S’emparant d’un flacon, elle enduisit ses mains et commença à me masser. D’abord les fesses, puis elle s’insinua entre mes globes, vers ma chatte. La caresse se fit plus précise, massant mes lèvres. J’écartai encore plus les cuisses, me cambrai, ouvrant à cette main l’accès à mon intimité. Elle enfonça deux doigts dans mon vagin, pendant que son pouce agaçait mon clitoris. Je commençai à rouler des hanches. Je sentais le plaisir monter en moi. Au moment où j’allais jouir, Estelle retira sa main, ma claqua les fesses et me dit en riant :

  • Tu, tut … Je ne crois pas que ta maîtresse apprécierait que tu jouisses, n’est-ce pas ?

  • Oh madame, c’était si bon !

  • Oui, mais c’est fini. Met-toi sur le dos, les bras le long du corps.

De nouveau, elle enduisit mon pubis d’huile, sans me caresser, cette fois. Elle venait de terminer lorsque ma maîtresse entra. Estelle alluma une lumière brillante. Je pus enfin la voir correctement. Elle semblait nue sous sa blouse et il me semblait apercevoir des couleurs bizarres sur sa peau. Claudine remarqua mon regard et me dit :

  • Estelle est une esthéticienne particulière. Tu veux bien lui montrer, chérie ?

Estelle déboutonna sa blouse. Au fur et à mesure que les boutons sautaient, je voyais son corps se dénuder. Elle fit tomber sa blouse et j’en restai bouche bée. Des épaules jusqu’au pubis, elle était tatouée. Pas un millimètre de peau claire. Elle avait des seins magnifiques, légèrement tombant. Des anneaux, lourds, épais, étiraient les tétons d’au moins trois ou quatre centimètres, les faisant pendre.

Toutefois, ce qui attira mon regard se trouvait à la jonction de ses cuisses. Elle écarta les cuisses, dévoilant ses trésors. Ses grandes lèvres étaient disproportionnées, pendantes d’au moins cinq à six centimètres. Sur chaque lèvre, des anneaux, quatre, énormes, environ cinq à six centimètres de diamètre, pour un demi centimètre de section. Chacun d’eux était fixé à une plaque métallique, d’environ dix centimètres de long, cinq de large et un d’épaisseur. J’aperçus des écritures sur la plaque, que je ne pus déchiffrer. Plus haut, à la jointure des lèvres, le capuchon du clitoris avait été enlevé, laissant le clitoris à nu. Il dardait entre les lèvres, sortant d’à peu près deux centimètres. Là encore, un gros anneau transperçait la hampe et reposait sur le sexe de la femme. Un méplat, situé en bas de l’anneau attira mon regard, mais là encore, je ne réussis pas à lire les inscriptions qui s’y trouvaient. A la vue de ce sexe et de ces seins transformés, je me sentis couler. La façon dont Estelle avait été ‘mutilée’, comme diraient certains, m’excitait.

  • Tu vois, me dit Claudine, Elle aussi, est une esclave, dans la plus pure tradition. Elle se moque de son corps. La seule chose qui compte pour elle, est la plaisir de sa maîtresse. Regarde ses tatouages, ils sont tous à la gloire de la femme, sa maîtresse. Son anneau au clitoris et sa plaque portent le nom de sa maîtresse. Seras-tu capable d’en faire autant un jour ?

  • Je … je ne sais, mademoiselle.

  • Bon, pour l’instant, rhabillez-vous toutes les deux. Je vous attend à l’accueil.

Estelle prit le temps de me laisser contempler ses tatouages. Effectivement, tous représentaient des femmes, femmes enlacées, s’embrassant, ou des seins, des chattes des fesses. Elle finit par se couvrir et nous regagnâmes l’accueil. Je payai mon épilation et nous sortîmes. Je sentis le vent chaud et léger caresser ma chatte glabre. La sensation était agréable te je sentis poindre une pointe d’excitation.

  • Nous allons aller déjeuner, et ensuite, faire quelques achats pour marquer ta nouvelle condition !

  • Bien mademoiselle.

Nous marchâmes pendant dix minutes pour atteindre le restaurant. Je me sentais plus nue que nue, avec ma chatte rasée et je jetai des coups d’œil incessant pour voir si quelqu’un pouvait se douter de ma tenue. Cela finit par énerver ma maîtresse, qui me lança durement :

  • Si tu continues comme cela, je te fais mettre cul nu. Comme cela, au moins, tu auras raison de regarder autour de toi.

  • Pardon, mademoiselle, mais cette nudité est si bizarre que j’ai l’impression que tout le monde la voit.

  • Comment veux-tu qu’ils le sachent, pauvre gourde, ta robe cache suffisamment ta chatte, non ?

  • Oui, mademoiselle, pardon.

  • Alors cesse de jeter des coups d’œil autour de toi et avance.

Rouge comme une pivoine, tête baissée, j’avançai plus vite. Nous entrâmes dans un restaurant du centre-ville, fréquenté par des hommes d’affaire. La moitié des tables étaient déjà occupée et le maître d’hôtel nous plaça près de la terrasse. La table se trouvait sur une petite estrade rehaussée et nous avions vue sur toute la salle. Un serveur apporta les menus et se retira.

Ce que je n’avais pas compris, c’est que l’estrade permettait une vue imprenable sur mes cuisses. Je ne m’en aperçus qu’au bout d’un moment, lorsque je vis des regards fixés sous notre table. Il ne fallait pas compter sur la nappe pour dissimuler quoi que ce soit, tant elle était courte. Gênée, je serrai les jambes et, au bout d’un moment, je les croisai. Le geste n’échappa pas à Claudine que me dit :

  • Décroise les jambes, salope. A partir d’aujourd’hui, plus de jambes croisées !

  • Bien mademoiselle.

  • De plus, tu ne dois plus serrer les cuisses. Tu devras respecter un écartement minimum de dix centimètres.

  • Mais… mademoiselle !

  • Tu te rebiffes déjà ? Tu en as assez ? Tu veux t’en aller ?

  • Non, mademoiselle, répondis-je, honteuse, tête baissée, je vous obéis.

  • Tu es une salope, maintenant. Et une salope ne croise pas les jambes. Tu seras punie pour cette résistance.

  • Bien mademoiselle.

Je décroisai les jambes et écartai les cuisses bien plus que la distance exigée par Claudine. En face de moi, l’homme qui déjeunait faillit s’étrangler lorsqu’il aperçut le spectacle que je lui offrait. Il devint tout rouge, desserra sa cravate et ouvrit le bouton du haut de sa chemise sans cesser de regarder ma chatte. Je la sentis s’humidifier. Je souris en voyant la situation du pauvre homme.

  • Qu’est-ce qu’il y a, salope ? demanda ma maîtresse, en me voyant sourire.

  • C’est un homme qui a failli s’étrangler quand j’ai écarté les cuisses, mademoiselle.

  • Comment est-il ?

  • Gros, presque obèse, mademoiselle !

  • Bon, tu vas aller aux toilettes. En passant devant lui, tu vas lui faire comprendre qu’il doit te suivre aux WC. Tu vas te faire baiser mais je veux qu’il jouisse dans ta bouche. Tu reviendras ici me montrer qu’il a bien juté où j’ai dit et seulement à ce moment-là, je te dirai si tu peux avaler, compris ?

  • Bien mademoiselle, dis-je après un long moment d’hésitation.

Je fixai l’homme, lui souris et écartai largement les cuisses en me levant. S’il avait des doutes sur mon absence de toison, ils étaient à présent levés. Je passai devant lui, frôlant sa table, touchant son épaule de la hanche et me dirigeai vers les WC. Je n’attendis qu’un petit instant devant la porte des toilettes hommes avant de le voir surgir. Aussitôt, je l’entraînai dans une cabine et fermai derrière nous. Il était si gros que nous étions très à l’étroit. Je plongeai ma main vers son entrejambe. Je le sentis déjà en érection.

Il n’était plus question pour moi d’être f o r c é e. J’agissais en salope que j’étais. J’avais envie de cette queue dans ma bouche, dans ma chatte. Je m’accroupis, fis glisser le zip du pantalon et dégageai la bite. Elle était très grosse, plus grosse que celle de mon voisin, plus longue aussi. Elle sentait la sueur et l’urine. Pourtant, je l’engloutis sans discussion et commençai mon va-et-vient sur le membre. Je le sentis se crisper de suite et une giclée de foutre envahit aussitôt ma bouche. Je le laissai se vider les couilles dans ma cavité buccale, mais il y en avait tant que je dus en avaler une partie pour ne pas étouffer. Lorsqu’il eut terminé de jouir, il se rhabilla sans demander son reste et sortit des WC. Je me sentais frustrée de n’avoir pas eu cette bite dans la chatte, mais j’avais rempli une partie de ma mission. J’espérais que ma maîtresse ne me tiendrait pas rigueur de la défaillance de l’homme.

En sortant, je me regardai dans la glace. J’avais les joues gonflées par la semence qui envahissait ma bouche et je me dépêchai de regagner ma place. Lorsque je passai à côté de lui, l’homme ne me jeta pas un regard. Je me rassis en face de ma maîtresse. Ce fut elle qui me dit :

  • Dis donc, vous avez fait vite !

Je ne pus qu’hocher la tête. Ma maîtresse regarda un moment mes joues gonflées et me demanda :

  • Tu as tout gardé ?

Incapable de répondre, je hochai affirmativement la tête. Elle semblait prendre un immense plaisir à me laisser ainsi, la bouche pleine de sperme. Enfin, elle finit par me dire :

  • Montre ! Tu pourras avaler ensuite !

J’ouvris la bouche du mieux que je pus et elle put constater l’abondance de la semence que j’avalai en une seule fois.

  • Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Demanda-t-elle, lorsque j’eus la bouche libre.

  • Il a éjaculé au bout de dix secondes, pendant que je le suçais, mademoiselle.

  • Tu ne l’as pas senti venir ?

  • Si, mais c’était trop tard. J’ai tout reçu dans la bouche. Il y en avait tellement que j’ai dû en avaler une partie pour ne pas m’étouffer. Je vous demande pardon, mademoiselle !

  • C’est bien, tu es très obéissante. Tu deviens une véritable salope !

  • Pour votre plaisir, mademoiselle ! Je suis votre chose !

  • Bon, déjeunons, je me suis permis de commander pour toi.

  • Merci mademoiselle !

  • Bon appétit, salope !

  • Bon appétit mademoiselle.

Je dévorai de bon appétit la délicieuse salade composée que ma maîtresse m’avait commandée. Cela me permit d’effacer le goût du sperme dans ma bouche. Nous terminâmes par un café. Claudine paya et nous sortîmes. Dehors, deux hommes qui avaient fréquenté le même restaurant nous abordèrent, vite rabroués par Claudine. Nous partîmes sous les insultes des deux hommes.

Quelques instants plus tard, ma maîtresse s’arrêtait devant une animalerie. Dubitative, je m’interrogeai. Je ne pensais pas qu’elle eut envie d’acheter un animal quelconque. Je fus encore plus surprise lorsqu’elle entra. Ignorant les animaux, présentés sur la droite du magasin, elle fila directement vers les accessoires, les accessoires pour chiens, pour être précise. Là, elle farfouilla dans les colliers, les laisses. Je ne doutais plus de la raison qui l’avait menée ici. Elle allait me faire porter un collier, auquel elle allait éventuellement fixer une laisse.

  • Puis-je vous aider ? Fit soudainement une voix mâle derrière nous.

Je devins écarlate lorsque Claudine répondit, se tournant vers le vendeur :

  • Oui, je cherche un collier et une laisse pour ma chienne.

  • Elle est de quelle race ?

  • De la race des salopes, elle est juste là, fit-elle en me désignant.

  • Ah, je vois, lança le vendeur, un peu gêné. Madame a le cou gracile. Il lui faut un collier léger. Suivez-moi !

Il déambula entre divers présentoirs et s’arrêta au quatrième.

  • Voilà, je pense que vous trouverez votre bonheur ici.

  • On peut les essayer ? demanda ma maîtresse.

  • Bien sûr, dit le vendeur, après avoir constaté que le magasin était quasiment vide à ce moment.

  • Celui-ci, reprit Claudine, en désignant un collier en cuir, large de cinq centimètres et munis de plusieurs anneaux en métal. Seriez-vous assez aimable pour le lui passer ?

  • Bien sûr, répondit le vendeur en se saisissant du collier.

Je dégageai ma nuque et me plaçait de façon à faciliter l’installation. Lorsque le vendeur me passa l’engin, je sentis ses mains trembler. Ce que je sentis également, ce fut son érection contre mes fesses lorsqu’il dû se serrer contre moi pour fermer le collier. Je me présentai à ma maîtresse. Elle me fit me tourner et déclara :

  • Il est très bien, mais pas assez serré. Pouvez-vous mettre un cran de plus ?

  • Oui, bien sûr, mais madame sera beaucoup moins à l’aise.

  • Je m’en fous. Serrez un cran de plus.

  • Madame ? Fit-il en se tournant vers moi.

  • Faites ce que mademoiselle vous demande, répondis-je d’une voix étranglée.

  • Bon, comme vous voulez.

Et il resserra d’un cran supplémentaire. J’eus du mal à déglutir, puis à respirer. Il me fallut quelques minutes pour m’habituer au serrage et parvenir à respirer normalement.

  • Comment te sens-tu, salope ? Demanda ma maîtresse

  • Ça va mieux, mademoiselle, j’arrive à respirer, à présent.

  • Bien, elle le garde sur elle. Avez-vous des médailles ?

  • Des médailles ? bien sûr, madame, suivez-moi.

  • Pourquoi ne m’appelez-vous pas mademoiselle ?

  • Vous savez bien que le terme a été supprimé. Notre patronne nous a donc demandé de ne plus appeler personne mademoiselle.

  • Voyons ces médailles !

  • Suivez-moi !

Il nous conduisit devant un présentoir où étaient étalées de centaines de médailles. Elle désigna l’une d’elle, une médaille de quatre centimètres de diamètre et dit :

  • Puis-je la voir ?

Le vendeur la lui présenta et ma maîtresse reprit :

  • Parfait, je la prend. Pouvez-vous la faire graver ?

  • Bien sûr, madame, il suffit de trois minutes. Que voulez-vous y faire graver ? Je m’en occupe de suite.

  • Sur un côté, salope, en gros, de l’autre, propriétaire : Claudine – 06 XX XX XX XX.

  • Bien, je m’en occupe, fit le vendeur avec un regard gêné vers moi.

Il revint cinq minutes après et présenta la gravure à ma maîtresse. On voyait nettement le mot salope et, lorsque la médaille serait fixée à mon collier, plus moyen de cacher mon état à quiconque. Malgré ma honte, je sentais ma chatte se crisper de désir et ma mouille suinter de mes lèvres. Ma maîtresse demanda au vendeur de la mettre en place et je me retrouvai affublée d’un collier de chien et d’une médaille qui clamait à tout le monde mon état de salope.

  • Merci, mademoiselle, pour ce cadeau, fis-je, sincère.

Elle me fixa un moment, cherchant à détecter une raillerie, mais il n’y en avait pas. Je me complaisais dans mon état de soumise, je voulais en faire part à ma maîtresse.

Je m’aperçus très vite, en marchant, que le balancement de la médaille attirait les regards. Je voyais des mines réprobatrices, d’autres égrillardes, d’autres encore interrogatives, mais je m’en moquais. Je marchais aux côtés de ma maîtresse, fière d’être sa chose. Ma chatte palpitait, laissant échapper des gouttes de ma cyprine. On pourrait presque me suivre à la trace.

Ma maîtresse se dirigea vers la vieille ville, puis entra dans un magasin de vêtements. Je ne pouvais en croire mes yeux. Tous les vêtements étaient très, très courts, qu’ils soient en tissu ou en cuir. Il y avait là des jupes, des robes, des bustiers. La plupart des chemisiers étaient au mieux, translucides. Les autres dévoileraient sans vergogne tous les appâts de celle qui les enfileraient. Je me doutais que ma maîtresse allait me faire essayer beaucoup de ces habits.

  • Puis-je vous aider, mesdames ? fit une voix derrière nous.

Nous nous retournâmes et vîmes une vendeuse âgée, au moins la cinquantaine, qui s’approchait de nous. Elle ne repéra pas de suite le collier et la médaille, mais dès qu’elle eut lu l’inscription, elle sourit et ne s’adressa plus qu’à Claudine.

  • J’ai de très jolis modèles pour votre soumise, madame, commença la vendeuse. Quelle taille fait-elle ? Il me semble qu’un trente-huit lui irait.

Je hochai affirmativement la tête, lorsque Claudine me jeta un regard interrogateur.

  • Voyons voir ce que je peux vous proposer. Tout d’abord, un bustier. Il a ceci de remarquable, que vous pouvez retirer ou non la partie supérieure du soutien-gorge. Ainsi, les seins sont présentés, toujours soutenus. Voulez-vous lui faire essayer ?

  • Volontiers. Allez, salope, déshabille-toi !

  • Bien mademoiselle.

Sans autre forme de procès, je quittai ma robe, exposant ma nudité devant la vendeuse. La façon qu’elle eut de me regarder, me fit comprendre qu’elle était lesbienne. Ma chatte se mit à palpiter. Elle ne se gêna pas pour me peloter pendant qu’elle me passait le vêtement. Je ne m’en plaignis pas, j’adorais ce contact. Le bustier se fermait dans le dos, grâce à des crochets. Un laçage complétait la décoration, c’est du moins ce que je crus jusqu’à ce que la vendeuse enchaîne.

  • Voilà, vous pouvez constater qu’il moule la silhouette comme une deuxième peau. D’autre part, vous pouvez resserrer la taille avec les liens derrière. Comme ceci.

Et elle entreprit de resserrer le bustier en tirant sur les lacets. Bien vite, je sentis ma taille et ma poitrine se comprimer, et j’eus du mal à respirer. Mes seins, par contre semblaient jaillir de leurs attaches pour gonfler plus encore. La vendeuse reprit :

  • Vous pouvez lui faire gagner jusqu’à quatre ou cinq centimètres de tour de taille. Il suffit de resserrer progressivement. Tous les cinq jours, environ, prendre un cran, pas plus.

  • D’accord ! et pour le soutien-gorge ?

  • Il suffit de le dégrafer comme ceci. Voilà, il est retiré.

Conjugué au serrage du bustier, le soutien faisait remonter mes seins très hauts. Ils pointaient comme jamais. Cela fit rire Claudine.

  • D’accord, j’en prends quatre, un blanc, un noir, un rouge et un bleu. Qu’y a-t-il d’autre ?

  • Des chemisiers, peut-être ?

  • Ah oui, très transparents.

  • Voilà, madame.

Ma maîtresse en choisit quatre, de même couleurs que les bustiers. Puis ce fut au tour des robes. Au nombre de quatre, elles étaient si courtes que le simple fait de lever les bras en l’air dévoilait ma chatte et la presque totalité de mes fesses. L’une d’elle dévoilait tout de ma plastique, tant elle était transparente. Elle me choisit également des jupes, couleurs assorties aux bustiers, toujours aussi courtes, puis des escarpins à talons, dont la plus petite hauteur avoisinait les huit centimètres. Elle acheta également des vestes courtes de même couleur. Je me faisais l’effet d’une grue, là-dessus. C’était certainement ce que recherchait Claudine. Elle me fit me rhabiller. Au moment de payer, la vendeuse nous annonça qu’elle nous offrait vingt pour cent de réduction sur nos achats. Cela faisait tout de même une somme coquette. Une fois qu’elle eut payé, Claudine demanda à la vendeuse :

  • Voulez-vous qu’elle vous lèche et vous fasse jouir ?

  • Vous… vous accepteriez ?

  • Bien sûr, c’est une salope, elle fait tout ce que je lui dis de faire. Elle m’obéit en tout. N’est-ce pas, salope ?

  • Oui mademoiselle.

  • Tu veux bouffer la chatte de madame ?

  • Oui mademoiselle, je le veux.

  • M’autorisez-vous à filmer ? On ne verra pas votre visage.

  • Si vous voulez, fit la vendeuse, après un instant d’hésitation.

Je m’approchai de la vendeuse, m’agenouillai devant elle, et fit remonter sa jupe le long de ses jambes. La trouvant trop longue, je la tirai dans l’autre sens et la lui fit quitter. Elle était devant moi, en culotte échancrée, mauve. Une légère tâche humide se voyait au niveau de l’entrejambe. J’avançai ma bouche et touchai le tissu qui recouvrait la chatte. Je sentis son odeur, une odeur forte, puissante, poivrée.

Dans un état second, j’empoignai les bords de la culotte et l’envoyai rejoindre la jupe sur le sol. Je lui écartai les cuisses et plongeai ma bouche au cœur de son sexe. Sa toison me chatouillait le nez pendant que je faisais aller et venir ma langue le long de sa fente. Je m’emparai de son clitoris et le fit tourner entre mes lèvres. Elle gémissait, donnant des coups de reins, pour accentuer les caresses. Au bout de cinq minutes, elle haletait, comme une chienne assoiffée et je sus qu’elle ne tiendrai plus longtemps. Elle gémissait en continu. Soudain, elle se cambra, m’attrapa la nuque de ses deux mains et plaqua mon visage contre son pubis. Je continuai difficilement à aspirer son clitoris. Quand elle me relâcha, je m’écroulai, à bout de souffle, sur le sol. J’avais la bouche et le menton trempé de sa mouille luisante. Elle reprit peu à peu conscience et dit à ma maîtresse :

  • Bon s a n g , quelle bouffeuse de chatte, votre salope. Elle va faire des ravages.

  • Merci pour elle, répondit ma maîtresse, elle est encore en dressage. Vous verrez, d’ici peu, ce sera encore mieux.

  • Comment savoir ?

  • Je vous tiendrai au courant.

  • Merci. Au revoir, madame. Au revoir, petite salope.

  • Au revoir. Tu viens, toi, salope, debout.

Je me relevai, saluai la vendeuse, prit les paquets et sortit à la suite de ma maîtresse. Nous marchâmes un moment et je fus soudainement prise d’une envie d’uriner.

  • Mademoiselle, j’ai envie d’aller aux toilettes.

  • Aux toilettes ? depuis quand une salope va-t-elle aux toilettes ? Quelle envie ?

  • Uriner, mademoiselle.

  • Une salope de ton genre n’urine pas, elle pisse.

  • J’ai envie de pisser, mademoiselle.

  • Eh bien, vas-y, pisse.

  • Ici ?

  • Bien sûr.

Je m’accroupis, me dissimulant tant bien que mal derrière les voitures stationnées, mais je ne parvins pas à pisser. Cela agaça ma maîtresse qui cria :

  • Alors, tu y arrives ? On ne va pas y passer la journée !

  • Je n’y arrive pas, mademoiselle, je suis désolée.

  • Alors, debout, et en route.

Dès que je me levai, l’envie revint aussi forte. Ma maîtresse ne fit guère attention à moi et continuait à avancer. Je faisais des efforts surhumains pour me retenir. Hélas, à un moment donné, je ne pus plus me retenir et les vannes lâchèrent. Je m’arrêtai, écartant les cuisses au maximum et pissai debout. L’urine me coula sur les cuisses, jusque dans les chaussures. Ma maîtresse se retourna et je vis dans ses yeux une lueur de triomphe. Il ne faisait aucun doute qu’elle avait désiré ce moment. Je pissais comme une vache, incapable de m’arrêter. Lorsque le flot se tarit, j’avais les cuisses trempées, et les souliers baignaient dans l’urine. Sans plus en faire de cas, Claudine repartit vers le parking. A un moment, elle se retourna et me lança :

  • Non seulement, tu es une salope, mais aussi une pisseuse. Qu’est-ce que je vais faire de toi ?

Je ne répondis pas, me contentant de la suivre, tête basse. Nous récupérâmes la voiture et Claudine me dit :

  • Nous allons aller chez toi. Il faut que tu te changes, tu pues la pisse.

  • Bien mademoiselle.

Lorsque j’ouvris la porte, je restai interdite un moment. Trois valises se trouvaient dans l’entrée, valises qui n’y étaient pas quand nous étions sortis. De plus, il y a deux jours, lorsque Frank était parti, il n’avait pris qu’une valise et un sac, et aucun d’eux ne figurait ici. Je n’eus guère le temps de tergiverser, mon mari s’encadrant dans la porte du salon.

  • Bonjour Céline ! bonjour Claudine.

  • Bon… bonjour Frank, balbutiais-je en retour.

Claudine se contenta d’un signe de tête. Mon mari arrêta son regard sur mon collier de chien. De là où il était, il ne pouvait manquer de lire l’inscription. Je me mis à rougir, en déglutissant, sans savoir quoi dire. Ce fut Frank qui parla le premier. Il semblait beaucoup plus détendu depuis qu’il avait vu ma médaille.

  • Il faut que je te parle, reprit-il doucement.

  • Je vais vous laisser, dit Claudine, gênée.

  • Non, non, ce n’est pas la peine de vous en aller. Je pense qu’il n’y en aura pas pour longtemps, à présent. Restez dans le salon, nous allons aller dans la chambre. Tu viens Céline ?

Je suivis mon mari et il referma la porte derrière nous. Je fis un geste pour retirer le collier, mais il m’arrêta.

  • C’est inutile, j’ai tout compris. Depuis quand tu lui es soumise ? Car tu lui es soumise, n’est-ce pas ?

  • Ecoute, Frank…

  • Depuis quand ?

  • Depuis ton départ, avant-hier. Cela s’est fait tout seul, comme cela.

  • Ne crois pas que je te juges. Tu es libre de faire ce que tu veux. Je pensais que ce que j’avais à te dire serait beaucoup plus difficile, mais depuis ça – il montra le collier et la médaille – je me sens soulagé. Je te quitte, Céline.

  • Mais…

  • Attend, laisse-moi finir. Reconnais que nos relations, depuis presque deux ans maintenant, se sont détériorées. Aussi, je voulais te dire que j’ai rencontré quelqu’un. Cela fait un an et demi que nous nous voyons en cachette. Oui, tu as compris. Ces incessants départs à l’étranger cachaient en réalité ma liaison. Elle est enceinte. Toi, tu n’as jamais voulu d’e n f a n t . Alors, je l’ai choisie, elle. Nous allons divorcer. Maître Rolland prendra contact avec toi pour les formalités. Je te laisse l’appartement, la voiture. Je sais que tu as suffisamment d’argent pour vivre. Voilà, j’ai tout dit. Adieu, Céline.

Et il sortit sans ajouter un mot. Je restai abasourdie un moment, puis la vérité se fit dans mon esprit. J’étais libre, enfin libre. Libre de me jeter dans les bras de Claudine, libre de me soumettre à elle sans aucune restriction. Elle pourrait faire de moi ce qu’elle voudrait. On pourrait même vivre ensemble, si elle le désirait.

Je me dénudai, retirai le collier, pris une douche et, nue, retournai au salon, le collier à la main. Ma maîtresse m’attendait, assise dans un fauteuil. Je m’agenouillai devant elle et mue par une inspiration soudaine, je lui embrassai les pieds. Elle se laissa faire puis demanda :

  • Il est parti ?

  • Oui mademoiselle. Il demande le divorce !

  • A cause de ce qui vient de se passer ?

  • Non, mademoiselle. Il me trompait depuis plus d’un an. Son autre femme attend un e n f a n t . Il est parti la rejoindre.

  • Que va-t-il se passer, maintenant ?

  • Maintenant, mademoiselle, je suis libre. Libre de remettre mon corps et mon âme entre vos mains, libre de réaliser tous vos souhaits et me soumettre à tous vos désirs, dès maintenant. Plus besoin de période d’essai. Je suis prête.

  • Tu es sûre de toi ?

  • Oui mademoiselle. Je veux me vouer à vous vénérer et à vous faire plaisir.

  • Ecoute, ce soir tu vas subir une nouvelle épreuve. Si tu la surmontes, si tu en veux encore après cela, je te prendrai comme esclave. Tu n’auras plus aucune occasion de te renier ensuite. Tu comprends ?

  • Oui, mademoiselle. J’ai compris. Je veux être à vous, pour toujours !

  • Tu es folle. Tu ne sais pas dans quoi tu t’engages.

  • Montrez-moi, mademoiselle. Faites de moi votre chose, votre esclave, votre putain. Je sais que j’y suis destinée depuis que je vous connais.

  • Bien, mets-toi en position. Je vais lancer les invitations.

A genoux devant elle, je la vis pianoter sur son téléphone portable. Quelques instants plus tard, elle m’annonça :

  • Voilà, c’est fait. Il n’y a plus qu’à attendre les réponses pour savoir combien nous serons. Sais-tu ce qu’est une bacchanale ?

  • Oui mademoiselle. C’est une orgie !

  • Sauf qu’ici, nous serons toutes là pour toi. Tu seras notre seul objet de délire. Tu connaîtras des tourments, des plaisirs. Rien ne sera interdit avec toi. Peut-être seras-tu v i o l ée, enculée, fouettée, attachée. Tu devras sucer des chattes, encore et encore. et je ne sais quoi d’autre. Et tout cela sans rien voir, car tu porteras un bandeau tout au long de la soirée. N’aie crainte. Cette bacchanale sera filmée. Si tu vas jusqu’au bout, peut-être t’autoriserais-je à visionner la vidéo. Te sens-tu prête à accepter cela ?

  • Oui mademoiselle. Par amour pour vous !

  • Nous verrons cela ! ah, voici les premières réponses.

En effet, plusieurs bips se succédèrent sur son téléphone, tous affirmatifs. Il y en eut bientôt une vingtaine. Ma maîtresse sourit et m’annonça :

  • Tu as de la chance, elles seront toutes là pour toi !

  • Combien, mademoiselle ? Combien de personnes ?

  • Vingt-deux, vingt-trois avec moi, mais je n’aurai pas le droit de te toucher. C’est la règle.

  • Bien mademoiselle, répondis-je en essayant de cacher mon dépit, je serai à la hauteur.

  • Je l’espère, pour toi. Sinon, je ne pourrai pas te garder. Vas te reposer. La nuit sera difficile pour toi, très dure et très longue. Je viendrai te chercher à vingt-heures ce soir.

Elle me conduisit dans la chambre et m’abandonna. Je cogitai un long moment sur ma folie, puis je finis par m’endormir.

Restée seule, j’essayai de savoir où j’étais. Sous moi, je sentais un sol meuble, mais pas mou. L’odeur qui se dégageait de l’endroit semblait être une odeur de terre, de paille. Nous devions être dans une grange ou quelque chose comme cela. Pour tester ma liberté de manœuvre, je tendis la chaîne reliée à mon collier, en me penchant doucement en arrière. Je fus vite bloquée. La chaîne ne devait pas mesurer plus de cinquante centimètres. Je me penchai ensuite en avant, très précautionneusement. Mon front ne tarda pas à rencontrer quelque chose de rugueux, que j’identifiai comme un poteau de bois.

J’entendais, un peu plus loin de moi, le brouhaha des voix de celles qui allaient m’utiliser, tout à l’heure. Je parlais de moi comme d’un objet. Et ce que j’allais devenir dans quelques instants. Un objet dont elles pourraient user et a b u s e r à leur guise, sans que je ne puisse rien leur refuser. A cette idée, ma chatte s’humidifia. Je sentais la cyprine couler dans mon vagin.

En deux jours à peine, j’étais devenue une salope, soumise, docile. J’avais perdu mon mari, et pourtant, cela ne me coûtait guère. J’étais plus préoccupée par mon examen de passage que par tout le reste.

J’entendis des pas s’approcher et une voix inconnue dit :

  • Alors, c’est elle, la salope, objet de la bacchanale ?

  • Oui, madame, répondit la voix de ma maîtresse, c’est ma soumise.

  • Bien, nous allons voir cela. Amenez-la au milieu de la salle.

Ma maîtresse détacha la chaîne, côté poteau et tira dessus pour me faire lever. Elle m’emmena ensuite au milieu de la pièce. Autour de moi, je sentais la présence de nombreuses personnes. Ma maîtresse lâcha la chaîne qui vint frapper mon ventre, entre mes seins, puis retira la cape. J’entendis de nombreux murmures d’approbation. La voix que j’avais entendue tout à l’heure reprit :

  • Dame Claudine, présentez-nous votre esclave.

  • Madame, mesdames, je vous présente Cécile. elle est âgée de trente ans. Elle est en instance de divorce. Côté sexe, elle est bisexuelle. Elle a déjà sucé des chattes et s’est fait saillir par des hommes, autres que son mari. Elle est obéissante et aujourd’hui, elle aspire à devenir mon esclave dévouée. C’est pourquoi je désire lui faire subir l’épreuve de la bacchanale. Je précise qu’elle n’a aucune idée de ce qui l’attend.

  • Bien, dame Astrid, dame Reine, apprêtez l’esclave !

Je sentis deux mains détacher les menottes, puis me f o r c e r à m’agenouiller. Lorsque ce fut fait, elles me firent reculer, en écartant les jambes. Au bout de quelques pas, mes fesses heurtèrent un piquet de bois. L’une de mes ‘attachées’ écarta mes globes et l’autre me fit reculer encore. le piquet écartait largement mes fesses et mon anus entra en contact avec le bois. Elles prirent chacun un bras et m’écartelèrent, à l’horizontale. Elles fermèrent des bracelets et je fus solidaire de ce que je pressentais être une croix. Ensuite, elles passèrent des bracelets à mes chevilles et remontèrent mes jambes. Lorsqu’elles attachèrent les bracelets de cheville à la croix, je n’avais plus que les genoux, en contact avec le sol. Elles retirèrent la chaîne du mousqueton de devant, attachèrent une extrémité à celui de derrière, puis, me f o r ç a nt à redresser la tête, passèrent la chaîne derrière la croix, pour venir rattacher la chaîne sur le même mousqueton. Ainsi, j’étais totalement immobilisée, bras, jambes, et tête, et toujours aveugle.

  • Que la bacchanale commence, annonça solennellement la voix.

Aussitôt, je sentis quelqu’un s’approcher de moi. Je sentais une odeur de chatte, forte, poivrée, entêtante. Je ne pouvais que respirer les effluves de ce sexe si proche, et pourtant si lointain. Soudain, je sentis une vulve se coller contre ma bouche. Je sortis la langue et m’introduisit dans le vagin. N’ayant que ma bouche, je dus m’employer à bien lécher la chatte qui se présentait à moi. Je me servis de mes lèvres pour débusquer le clitoris et le saisir, afin de jouer avec. Elle fut longue à jouir et j’avais la bouche sèche lorsqu’elle se répandit dans ma bouche. Je n’eus pas le temps de me reposer. Aussitôt, une nouvelle chatte, nouvelle odeur, nouveau goût. Et les sexes se succédèrent, à un rythme endiablé. Certaines femmes n’attendaient pas de jouir, elles se retiraient et revenaient plus tard.

Je ne savais plus combien j’en avais léché, la seule chose dont j’étais sûre, c’est que la chatte de ma maîtresse ne figurait pas parmi celles que j’avais sucées. J’avais des goûts totalement différents sur la langue et j’avais senti des jouissances de toutes sortes. Certaines jouissaient, en mouillant légèrement, d’autre m’avaient entièrement remplie la bouche de mouille. L’une d’elle m’avait carrément enduit le visage de sa jouissance. J’avais de la cyprine qui dégoulinait de mon menton, sur mes seins, mon ventre, jusqu’à ma chatte. Je ne savais plus où j’étais, qui j’étais. Je n’étais plus qu’une bouffeuse de chattes, poilues ou non, une avaleuse de cyprine.

J’étais excitée comme une salope, que j’étais, bien sûr. Attachée comme je l’étais, je ne pouvais me soulager, et je sentais ma mouille couler, le long de mes cuisses, jusqu’au sol.

Je sentis une main s’insérer d entre mes cuisses et un doigt pénétra mon vagin. Aussitôt, une voix retentit :

  • Cette salope est trempée. Elle aime bouffer de la chatte, mesdames.

Elle fit aller et venir son doigt, bientôt rejoint par un autre, puis un autre, et bientôt, trois doigts me barattaient le vagin. Dans le silence complet, j’entendais les bruits mouillés que faisaient les doigts qui fouillaient ma chatte. Je commençai à gémir et donner des coups de reins, sentant la jouissance monter.

Toutefois, la main qui me fouillait cessa ses mouvements, avant que je n’explose. Je ne pus retenir un gémissement de dépit, vite réprimé par une claque sur mes seins. La femme approcha sa main de ma bouche et je sentis mon odeur sur ses doigts. Docilement, j’ouvris les lèvres et suçai les doigts, les uns après les autres. La femme, estimant le nettoyage terminé se releva.

Après un long moment, je sentis de nouveau quelqu’un s’approcher. On me détacha de la croix et on me remit debout. Je vacillai, tant la position avait été difficile et douloureuse. On me passa des bracelets aux poignets, puis je sentis ceux-ci être soulevés par une corde. Je me retrouvai bientôt les bras tendus au-dessus de la tête. On s’empara de mes chevilles et on les écarta. Je sentis que l’on attachait des, liens pour m’empêcher de resserrer les cuisses. Ceci fait, une main approcha quelque chose de ma bouche et une voix m’intima de l’ouvrir, ce que je fis aussitôt. On introduisit dans ma cavité buccale un bâillon-boule et on le serra fortement. Aussitôt, la salive commença à couler sur mon menton.

Je sentis des mains se poser sur mes seins et en agacer les tétons qui ne tardèrent pas à réagir en s’érigeant. La caresse était agréable et je me détendis. Soudain, les doigts qui m’avaient caressée se mirent à pincer et étirer, sans douceur, les bouts de mes seins. Une nouvelle fois, ils réagirent en s’érigeant.

La main abandonna la caresse rapidement et une autre s’empara de mon téton. Je sentis aussitôt une forte douleur irradier dans toute ma poitrine. Une pince venait de se refermer sur mon bout. Je ne pus retenir un gémissement, vite réprimé par le bâillon. Une deuxième pince rit place sur l’autre téton. Une nouvelle fois, la douleur qui s’en suivit me fit gémir.

Le poids des pinces étiraient mes seins vers le bas, martyrisant ma poitrine. C’est alors que je sentis une main s’emparer d’une de mes grandes lèvres. Une pince vint s’y fixer. Cette fois, la douleur remonta le long de ma colonne vertébrale, jusqu’au cerveau. Je ne pensais pas pouvoir supporter cela, lorsque je pensai au harnachement d’Estelle. Moi qui voulais en avoir autant, comment pourrais-je y prétendre, si je me laissais aller pour de petites pinces. Je réussis à me retenir lorsque la main fixa la deuxième pince à mon autre lèvre, puis, quand, dégageant le clitoris de son capuchon, elle y fixa une pince, plus petite, certes, mais toujours aussi dure à supporter.

Lorsque je fus équipée, j’avais des pinces aux seins, à la chatte et sur le clitoris. Je me demandais jusqu’où irait cette épreuve. Je sentis une personne s’approcher de moi et mon sein gauche se distendit soudain sous le poids que venait d’ajouter cette personne. La douleur reprit et ne cessa pas, même après que toutes les pinces aient reçu leur poids. Je balançai la tête, de gauche à droite et d’avant en arrière. Je désirais que cette douleur cesse. Ce fut le cas au bout de quelques minutes, lorsque je compris qu’il valait mieux ne pas bouger. La douleur devint plus supportable.

Je ne sentis pas la personne qui se glissa derrière moi et posa contre ma peau un aiguillon électrique. La décharge ne fut pas très forte, mais je me tendis sous le choc électrique. Tous les poids s’envolèrent et étirèrent brutalement les endroits où ils étaient fixés. Sous la douleur, je ne pus retenir un hurlement, heureusement am o r t i par le bâillon. J’avais l’impression que l’on venait de m’arracher les tétons, la chatte, et surtout que mon clitoris était arraché et gisait à terre, ens a n g lanté, toujours enserré dans la pince, pendant que je me vidais de mon s a n g par la hampe encore fixée à mon corps.

Je m’aperçus vite que tout était encore en place, quand je sentis une nouvelle décharge, puis une autre, une autre encore, cinq au total. Et cela s’arrêta. J’étais anéantie. Mes jambes ne me portaient plus et seuls, mes bras distendus me soutenaient. Il me fallut un moment pour me remettre. Je sentis à peine la douleur lorsque les mains qui avaient fixé les poids, les retira.

On me redressa et je sentis une main caresser mon sexe. Les doigts, huileux, s’insinuaient dans ma chatte, un, puis deux, puis trois. Bientôt, à f o r c e de persévérance, j’en sentis un quatrième f o r c e r l’entrée. Ce ne fut que lorsque le pouce tenta de s’immiscer en moi que je compris. On allait me fister. J’allais devoir recevoir une main entière dans mon vagin. La main se retirait, puis revenait sans cesse, gagnant millimètre par millimètre. Je finis par sentir le poignet de la personne se présenter à l’entrée de mon trou.

Il f o r ç a un peu et je me raidis. Il relâcha son effort et revint, encore et encore. Soudain, je sentis que mon entrée cédait et la main entra jusqu’au poignet dans mon vagin. Elle resta immobile un moment puis commença à se mouvoir en moi. Je la sentais écarter mes parois vaginales. Je sentais une vie propre dans ma chatte et il me semblait que jamais mon trou ne se refermerait et qu’il resterait toujours béant. Une autre main commença à jouer avec mon clitoris, le caressant. Le but semblait être de me faire jouir avec cette main à l’intérieur. Pendant que l’une me branlait le clitoris, l’autre faisait des va-et-vient, comme une énorme bite. A ce rythme-là, je ne tins pas longtemps et je hurlai mon plaisir dans mon bâillon. Je sentais mes parois vaginales comprimer cette main qui me fouillait. Une nouvelle fois, je tombais presque d’inanition.

On me détacha et m’assis sur une chaise. On m’offrit à boire, que j’avalai gloutonnement. Au moment où je pensais que la bacchanale était terminée, on me conduisit jusqu’à un chevalet, où on me fit pencher. Je ne tardai pas à sentir quelque chose contre mes lèvres. Un godemiché ceinture s’introduisit en moi. La femme qui en était équipée me prit aux hanches et commença à me besogner à grand coups de reins. La saillie dura cinq minutes environ, puis elle fut remplacée par une autre, équipée d’un godemiché plus conséquent. Ensuite, lorsqu’elle se retira, elle aussi, la pénétration suivante se fit avec un godemiché d’un diamètre supérieur. Ce fut encore le cas, trois fois. Le dernier diamètre me distendait complètement le vagin et la pénétration était plus désagréable qu’autre chose. Heureusement, la saillie ne dura qu’un petit instant.

Lorsque la personne se retira, je me demandai si je pourrais supporter encore plus gros. J’en étais là dans mes pensées lorsque je sentis quelque chose appuyer sur mon anus. Terrorisée, je serrai les fesses, hochant négativement la tête. Je pensais qu’un godemiché énorme allait me déchirer le cul. Une voix, celle de ma maîtresse, que j’entendais pour la première fois, s’éleva :

  • N’aie crainte, laisse-toi faire. Le diamètre est peu important.

Je me détendis. Je sentis un doigt graisser mon anus puis le gland du godemiché s’appuyer sur ma rondelle. Mon sphincter céda petit à petit et bientôt je sentis la hampe me pénétrer. Je me faisais enculer pour la première fois de ma vie. La personne qui me sodomisait commença à bouger. La sensation devint vite agréable et je me surpris à donner des coups de cul pour accompagner la pénétration. Il ne me fallut que quelques va-et-vient pour jouir. Jamais encore je n’avais pensé qu’il était possible de jouir du cul. Et pourtant, c’est ce que je venais de faire.

La personne se retira et on me détacha, me retira mon bâillon pour m’étendre et me rattacher sur ce qui me semblait être une table basse.

Je sentis quelques personnes s’installer autour de moi et je reçus sur le ventre un liquide chaud. Elles étaient en train de me pisser dessus. La sensation était loin d’être désagréable, même lorsque certaines visèrent mon visage. Je me surpris même à ouvrir la bouche pour recevoir et avaler la douche dorée. Lorsque la première rangée se fut soulagée, une deuxième prit la place et m’arrosa d’urine. D’après mes calculs, il en restait trois, dont ma maîtresse, qui ne s’étaient pas soulagées. Je sentis des cuisses s’installer de chaque côté de ma tête et je compris ce que la femme voulait faire. J’ouvris la bouche et attendit. Le premier jet jaillit, bientôt suivi d’une cascade de pisse. Il y en avait tant que je ne pus tout avaler. Ce fut encore le cas pour la suivante. Lorsque la dernière s’agenouilla, je reconnu aussitôt l’odeur intime de ma maîtresse. Au lieu de rester passive, je collai ma bouche contre sa vulve et attendis. Elle se lâcha par petits jets et je réussis à tout avaler, sans en perdre une goutte.

Je fus détachée, relevée et conduite devant la maîtresse de cérémonie.

  • Tu as parfaitement supporté cette bacchanale. Tu as mérité de devenir l’esclave de Dame Claudine et ton nom de salope. Sois en digne.

Je me tus, ne sachant s’il fallait répondre. J’entendis autour de moi les gens s’en aller. Je restai bientôt seule. Ma maîtresse revint, me remit les menottes et la cape et me reconduisit à la voiture ? Je puais l’urine, la cyprine, j’étais anéantie de fatigue, mais j’étais heureuse. J’avais réussi l’épreuve. J’allais pouvoir adorer ma maîtresse. Elle n’avait pas attaché ma ceinture que je plongeai dans le sommeil. Elle me réveilla pour me faire monter à mon appartement. Ce fut elle qui me doucha et me mit au lit où je dormis treize heures d’affilée, veillée par Claudine.

Lorsque je me réveillai, je jetai un œil au réveil. Il était seize heures. Claudine n’était pas dans la chambre, mais je constatai que l’autre côté du lit était défait, signe qu’elle avait dormi avec moi. Je voulu bouger mais je grimaçai. Je me sentais moulue, vidée. Je me remémorai tout ce qui m’était arrivé la nuit dernière. J’avais été baisée, enculée, fistée, torturée à l’électricité, attachée, aveuglée, couverte de pisse. Mais je n’avais en aucun cas été obligé de la boire. Cela avait été de mon seul fait. Rien que de repenser à la bacchanale, je me mis à mouiller. J’étais vraiment devenue une salope.

J’allai me rafraîchir dans la salle de bain, et, toujours nue, marchai vers le salon. Claudine était là, qui regardait la télévision. Elle était vêtue de la longue jupe de la veille et du caraco, tous deux noirs. Je m’approchai d’elle sans bruit et m’agenouillai à ses pieds. Elle se pencha vers moi et me donna un long baiser.

  • Tu as été merveilleuse, hier soir.

  • Merci mademoiselle.

  • Tu as aimé ?

  • Oh, oui, mademoiselle. J’espère recommencer une prochaine fois !

  • Tout ?

  • Bien sûr, mademoiselle. Et plus encore.

  • Tu sais, les bacchanales peuvent prendre un tour plus v i o l ent.

  • Peu importe, mademoiselle. Pour vous, j’accepterai tout. Je désire devenir votre esclave totale. Je veux que vous fassiez de moi tout ce qu’il vous plaira.

  • Tu en es sûre ?

  • Oui mademoiselle.

  • Bien, tu l’auras voulu. As-tu un caméscope numérique ? Je n’ai pas pris le mien.

  • Oui mademoiselle. Si Frank ne l’a pas emporté.

  • Va le chercher.

Je partis en courant vers le bureau, ouvrit tous les tiroirs. Le caméscope se trouvait dans l’armoire, avec son pied. Je les saisis tous les deux et les ramenai dans le salon. Claudine l’installa devant elle et me demanda de m’agenouiller devant l’objectif. Elle fit le point et me donna un papier à lire. Elle déclencha l’enregistrement et je commençai à parler :

  • Nous sommes le 12 mai 2012 et il est 16 h 15. Je m’appelle Céline Autan, de mon nom de jeune fille et j’ai 30 ans. Je suis saine de corps et d’esprit.

Ce jour, je déclare vouloir devenir l’esclave de mademoiselle Claudine s a n g nier. Par cette déclaration, je lui abandonne mon corps et mon âme.

Sans aucune possibilité de refus de ma part, j’autorise ma maitresse :

• A utiliser tous mes orifices, bouche, chatte, anus de la manière qui lui plaira.

• A me prêter ou me louer à qui bon lui semble.

• A effectuer toute modification corporelle en vue de marquer mon état d’esclave et d’objet (piercing, tatouage, marquage au fer, ect…)

• A me dilater les orifices, afin de permettre des introductions extrêmes.

• A me fouetter, me punir, que ce soit suite à mes erreurs ou pour son plaisir et celui de ses amis.

• A me choisir mes vêtements.

• A me priver de, ou restreindre ma liberté par tout moyen de coercition de son imagination.

• A me filmer, à visage découvert, en toutes circonstances et à poster les photos et vidéos réalisées, sur un site qui me sera dédié.

A compter de ce jour, je déclare n’être plus qu’une esclave sexuelle, un objet, tout dévoué à la satisfaction des désirs de ma maîtresse.

A l’issue de ma déclaration, Claudine arrêta l’appareil et le brancha sur la télévision. Ainsi, je me vis faire ma déclaration envers ma maîtresse. Je me trouvai un air extatique lors de ce discours.

C’est à ce moment que le téléphone sonna. Le numéro qui s’afficha était celui de mon avocat. Claudine me fit signe de décrocher. Je mis le haut-parleur

  • Bonjour, maître Rolland…

  • Bonjour madame Leray, vous êtes au courant ?

  • oui, je sais. Il est parti hier.

  • Dans ce cas, inutile de traîner, êtes-vous disponible ?

  • Tout de suite ?

  • Bien sûr, d’ici une demi-heure !

Je regardai Claudine, qui me fit un signe d’assentiment. Je répondis favorablement à l’avocat et raccrochai.

  • Prépare-toi, tu as juste le temps d’y aller, me dit Claudine. Mets ce chemisier, cette jupe plissée, pas de culotte, ni de soutien-gorge, bien entendu. Je t’attendrai ici.

  • Bien mademoiselle ! Que dois-je faire, si maître Rolland cherche à me baiser ?

  • Tu te laisses faire. Non, finalement, je vais venir avec toi. Ce sera mieux. J’emporte le caméscope. Si je peux te filmer, je le ferai. Au fait, mets ton collier.

  • Bien mademoiselle.

Tout le long du trajet, je fus silencieuse. J’appréhendais la rencontre avec maître Rolland. Au cours de nos rares rencontres, j’avais pu constater qu’il me trouvait à son goût. Chaque coup d’œil de sa part semblait me déshabiller. Et aujourd’hui, j’allais chez lui, nue sous ma jupe si courte, les seins visibles sous le chemisier, avec un collier qui proclamait ma situation. Et j’allais devoir tenir la position, jambes écartées.

Lorsque nous arrivâmes, le cabinet était vide. La secrétaire était absente et la porte du bureau de maître Rolland, entrouverte. Bien sûr, nous étions samedi. Celui-ci devait nous avoir entendues, car il nous dit :

  • Asseyez-vous, je suis à vous dans un instant !

Je m’assis dans un fauteuil, mais Claudine me fit déplacer. Ainsi assise, l’homme, ne pouvait me manquer. Dès l’ouverture de la porte, il allait voir ma jupe trop courte et mes cuisses écartées, laissant voir ma vulve épilée. Ensuite, s’il arrivait à quitter des yeux le spectacle, il verrait mes tétons, nettement visibles à travers le tissu. Seulement après, s’il regardait ailleurs, il verrait ma maîtresse.

Je pensais à tout cela, et je me sentais mouiller, plus encore, lorsque j’entendis le bruit d’un fauteuil que l’on repoussait. Je me léchai les lèvres, jetant un œil vers ma maîtresse. La porte s’ouvrit et l’avocat commença :

  • Voilà, mad …

Il ne put en dire plus. Je le vis déglutir, les yeux fixés sur mes cuisses écartées. Ensuite, il remonta jusqu’à mes seins, puis à mes lèvres. Je le vis fixer mon collier. D’où il était, il ne pouvait lire l’inscription mais elle ne faisait aucun doute, pour lui. En reposant ses yeux sur mon entrecuisse, il s’avança vers moi, un sourire carnassier aux lèvres.

C’est alors que Claudine toussa, se faisant remarquer par l’avocat. Celui-ci tressaillit et fit volte-face, se tournant vers ma maîtresse :

  • A qui ai-je l’honneur ? demanda-t-il, d’une voix suave.

  • Vous avez l’honneur de parler à la maîtresse de cette salope qui vous exhibe sa chatte !

  • Ah ! … Ah ! Bien ! Si je comprends bien, vous êtes ensemble, fit-il, après un instant de silence. Alors, entrez, asseyez-vous !

Assis en face de nous, dans son fauteuil, il a bien du mal à nous regarder dans les yeux. Ma chatte, nettement visible entre mes cuisses écartées, attire tous ces regards. Je me doute que, dans son pantalon, sa queue doit être raide. Cette évocation, qui, jusqu’à il y a peu, m’aurait dégouttée, me fait, aujourd’hui, mouiller.

Enfin, maître Rolland se décide à aborder ce pourquoi nous sommes venus :

  • Bien, mesdames ! Voilà, voilà, voilà …

Tout ceci dit, sans quitter un seul instant mon entrecuisse, de plus en plus humide.

  • Comme vous le savez, madame, votre mari demande le divorce. Il vous laisse l’appartement, la voiture, la maison de vacances, et cinquante mille euros par an. Voilà le contrat, qu’il vous demande de signer, si vous acceptez. Dans le cas contraire, je serai dans l’obligation d’engager une procédure qui pourrait s’avérer très longue.

  • En somme, maître, répondit Claudine, à ma place, ce que vous nous proposez, c’est un bon arrangement ou un mauvais procès !

  • Excusez-moi, madame, mais je ne crois pas qu’il soit utile de vous mêler de ce sujet !

  • Si maître, dis-je enfin, mademoiselle est ma maîtresse et elle a tous les droits sur moi !

  • Ah ! … vous êtes lesbienne ?

  • Non, maître, reprit Claudine, cela veut dire que j’ai tous les droits sur elle. Elle est mon esclave, ma pute, ma salope. C’est plus clair comme cela ?

  • Euuuuh … oui, madame ! Toutefois, je me dois de demander à madame Leray, si l’arrangement proposé par son mari lui convient. C’est la règle !

  • J’accepte, fis-je, après un regard vers Claudine, qui me fit un signe d’assentiment de la tête.

  • Bien, alors, signez en bas, à côté de la signature de votre mari !

Ce que je fis aussitôt. Claudine se tourna alors vers maître Rolland et demanda :

  • Est-ce que cette salope vous plait ?

  • Par … pardon, fit-il, interloqué.

  • Ma question est pourtant claire. Vous avez envie de la baiser ?

Son regard semblait perdu et allait de l’une à l’autre, sans savoir que dire.

  • Je répète une dernière fois ma question, maître. Avez-vous envie de la baiser ?

  • Où … où est le piège ?

  • Il n’y en a pas ! Cette salope fait tout, vous entendez, tout ce que je lui dis. Si je lui dis de baiser avec vous, elle le fera. Encore faut-il que vous soyez d’accord !

  • C’est d’accord ! J’ai toujours eu envie de me la faire !

  • Vous permettez que je filme sa prestation. N’ayez crainte, on ne verra pas votre visage, seulement celui de cette pute.

  • Ok !

  • Allez, salope, à poil, et occupe-toi de maître Rolland.

  • Bien mademoiselle, fis-je en me levant.

Il ne me fallut qu’une minute pour être nue. Maître Rolland me regardait, les yeux exorbités. Il avait tellement rêvé de me sauter, qu’il ne parvenait à assimiler le fait que tout cela allait se produire. Sans un mot, je passai de l’autre côté du bureau et m’agenouillai devant l’homme. Il ne bougeait pas et se laissa faire lorsque que je fis glisser le zip de sa braguette. J’eus du mal à extraire la bite, coincée dans le caleçon. Lorsque je l’eus sortie, je réalisai que maître Rolland était plutôt bien membré. Je le branlais quelques instants, puis fixai la caméra que Claudine tenait. Ensuite, je me penchai sur la queue et la prit en bouche. Contrairement à celle du voisin, je ne pus l’emboucher entièrement, ce qui fit dire à a maîtresse :

  • Elle est trop grosse, ma salope, tu ne peux pas l’avaler entièrement ! Ne t’inquiète pas, ça viendra. Bientôt, tu avaleras des calibres encore plus gros. Ta chatte et ton cul seront élargis, pour que tu prennes des engins énormes ! Allez, suce, salope, suce bien !

Toutes ces paroles n’avaient d’autre but que m’exciter. Pourtant, je savais que si elle m’obligeait à tout cela, je lui obéirais. Je céderais à tous ses désirs.

Au bout d’un long moment, Claudine reprit :

  • Allez, maître, baisez-la ! Montrez-lui ce qu’est une vraie bite. Celle de son mari ne devait pas être bien grosse, hein, salope ?

  • Non mademoiselle, répondis-je, en me relevant. Comment dois-je me faire baiser ?

  • Maître ? Déclama ma maîtresse.

  • J’ai toujours rêvé de la baiser sur mon bureau !alors, allonge-toi sur le bureau et écarte les cuisses !

  • Bien mademoiselle !

Je salivais déjà, à l’idée de recevoir une telle queue dans ma chatte. Maître Rolland empoigna mes chevilles, les posa sur ses épaules, et, d’un seul coup de rein, s’enfonça dans mon ventre. Il se bloqua au fond de mon vagin, puis, après quelques instants, commença une série de va et vient, me bourrant la chatte à fond.

Je ne tardai pas à râler :

  • Ohhh ! Que c’est, bon, mademoiselle ! il me baise à fond, si bien. Elle est grosse, sa queue. Je la sens bien ! Ohhhh ! Ouiiiii ! Je … je viennsss ! Ca y est, je jouissssss !

Maître Rolland attendis que mon orgasme se calme, avant de me faire me tourner, à plat ventre sur le bureau, une jambe repliée sous moi, l’autre à terre, et il m’enfila en levrette. Ses coups de reins v i o l ents reprirent, accompagnés d’insultes, qui me firent de nouveau jouir.

  • Putain ! Elle est bonne, la salope. Elle aime se faire tringler ! Je vais lui remplir la chatte de foutre !

  • Ohhhhh ! Oui, criais-je, baise-moi bien ! Défonce-moi la moule ! Remplis la chatte de ta putain ! Bourre-moi ! Ahhhh ! Je jouissssss !

  • Moi aussi, je jouissss ! Prend-ça, salope ! Putain ! Garage à bites !

Dans un dernier sursaut, il se coucha sur moi. Je sentais son cœur battre contre ma peau. Ce salaud m’avait fait jouir deux fois. Il se releva, fit le tour du bureau où j’étais toujours étendue et me présenta sa queue à nettoyer, ce que je fis sans me faire prier.

Lorsqu’elle fut propre, il la rangea dans son pantalon et revint s’asseoir sur son siège. Il avait ainsi une vue magnifique sur ma chatte dégoulinante de son sperme.

  • Redresse-toi, salope, lança ma maîtresse, va te laver la chatte et reviens !

Lorsque je revins, j’entendis ma maîtresse discuter avec maître Rolland. Je devinai tout de suite que le sujet de leur conversation, c’était moi. Alors, sans faire de bruit, je m’approchai de la porte et coutai :

  • / … comme une reine ! Disait maître Rolland. Que prévoyez-vous pour elle ?

  • Je ne sais pas encore, répondit Claudine, je sais qu’elle aime les hommes et les femmes … et peut-être plus encore !

  • Plus encore ? Que voulez-vous dire ?

  • Elle n’a pas encore testé la sodomie, le fist, vaginal et anal !

  • Vous … vous avez l’intention de lui imposer tout cela ?

  • Peut-être ! Tout dépendra de ses dispositions !

  • Ecoutez, si vous voulez la prostituer, je peux vous amener des clients, tous des gens sérieux, bien de leur personne !

Le silence se fit quelques instants, avant que ma maîtresse ne reprenne :

  • Qu’attendez-vous, en échange ?

  • Seulement de pouvoir la baiser, de temps à autre, gratuitement, s’entend !

  • Je vais réfléchir, maître. Cela me semble correct, comme deal ! Je vous ferai parvenir ma réponse très bientôt ! Mais que fait donc cette salope ?

Je fis quelques pas en arrière, ouvrit et refermai la porte des toilettes et entrai dans la pièce. Sans un mot, je m’agenouillai à côté de ma maîtresse et croisai mes mains derrière la nuque. Claudine se leva et me dit :

  • Debout, rhabille-toi, nous partons. Bonsoir, maître, à bientôt, j’espère !

  • A bientôt, madame !

Il ne me salua pas. Pour lui, je n’étais déjà plus qu’une pute, que l’on payait pour baiser. Encore que lui, désirait me baiser gratuitement. Et je pensais, en retournant à la voiture, que ma maîtresse y consentirait, en échange des clients qu’il apporterait.

Nous prîmes la voiture et rentrâmes à l’appartement. Là, ma maîtresse me demanda de préparer le repas, ce que je fis rapidement. Après avoir mis le couvert, nous nous mîmes à table et nous mangeâmes en silence. Ce ne fut que lorsque j’eus débarrassé la table, qu’elle alla s’installer dans le salon. Je revins quelques instants plus tard, et pris ma place, à ses pieds.

  • Assied-toi là, me dit-elle, en me désignant la place à côté d’elle, sur le canapé. Nous avons à parler !

Quelque peu interloquée, je pris place à côté d’elle. Elle se tourna vers moi, pinça ses lèvres et me dit :

  • Ce n’est pas trop dur, de te soumettre à mes caprices ?

  • Non, mademoiselle ! Je vous suis toute entière dévouée. Vous pouvez me demander n’importe quoi !

  • Tu es sûre de toi ? Je ne voudrais pas aller trop loin !

  • Mademoiselle, fis-je en lui prenant la main et en l’embrassant, je me suis donnée entièrement à vous et je ne le regrette pas. Vous m’avez poussée à faire beaucoup de choses que je n’aurais jamais osées faire, si je n’avais pas été votre soumise. Et je vous en remercie. Vous m’avez ouvert des horizons nouveaux et j’y ai plongé, avec délice. J’aurais pu, dès le début, dans le bois, refuser de faire ce que j’ai fait. Je m’y suis prêtée, avec volupté et personne d’autre que moi, ne peut être tenue responsable. Vous avez proposé, j’ai choisi, en mon âme et conscience. Maintenant, je peux vous l’affirmer, j’aime ce que vous me faites faire. Je vous suis entièrement dévouée et j’attends, avec impatience vos prochains ordres. Vous pouvez tout me demander, je ne rechignerai pas. Je suis à vous, corps et âme, n’en doutez pas. Si vous désirez faire de moi une pute, n’hésitez pas, faites-le. Si votre désir est de me transformer, me faire piercer, me faire ressembler à Estelle, aucun problème, au contraire !

Sans répondre, Claudine se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. J’ouvris la bouche, afin que nos langues se nouent. Je sentis sa main empaumer mon sein, chercher le téton et commencer à l’agacer. Je gémis dans sa bouche, et ma cambrai sous la caresse.

Pour ne pas être en reste, je caressai, moi aussi, sa poitrine. Ses minuscules seins ne remplissaient pas ma main, mais ses tétons, qui pointaient, semblaient particulièrement longs. Après nous être caressées pendant un long moment, Claudine se leva et, me prenant par la main, m’entraîna dans la chambre. Nous nous étendîmes sur le lit et les caresses, les baisers reprirent. Il ne fallut pas longtemps avant que nous ne soyons nues, toutes les deux. Sans se concerter, nous prîmes la position tête bêche et nous nous léchâmes la chatte jusqu’à la jouissance.

Repues, nous allâmes prendre une douche et revînmes nous étendre sur les draps, toujours nues. Claudine m’attira à elle et murmura :

  • Oh, ma chérie, ma tendre salope ! Je vais faire de toi une belle pute ! Tu veux ?

  • Oh oui, mademoiselle !

  • Tu accepteras tout ce que je te demanderai ?

  • Oui mademoiselle, tout !

  • Je vais t’avilir, te louer, louer ta bouche, ta chatte, ton cul. Te faire baiser, par des blancs, des noirs, des jaunes ! Des femmes, des hommes !

  • Oui mademoiselle, tout ce qu’il vous plaira !

  • Je te ferai piercer, les nichons, la chatte, le clito …

  • Oui ! Oui ! Oui, mademoiselle !

  • Tu veux, chérie, tu veux ?

  • Oui, mademoiselle, je le veux !

  • Je vais te fister, la chatte et le cul !

  • Oui mademoiselle, faites-le !

  • Tu seras ma soumise, ma salope, ma pute !

  • Oui mademoiselle, je serai votre soumise, votre salope, votre pute, et plus encore, si vous le voulez !

  • Plus ?

  • Oui, mademoiselle ! faites-moi écarteler le cul et la chatte, que je puisse accepter d’énormes diamètres, même si mes orifices ont du mal à se refermer, ou ne le peuvent plus. Faites-moi saillir par des chiens, des chevaux, si tel est votre bon plaisir ! Faites-moi servir de vide-couilles ! Que mon ventre serve de réceptacle à tout le sperme des hommes, choisis par vous ! Faites-moi baiser, sans capote et que tous me remplissent le cul et le con ! Et si l’envie vous en prend, faites-moi engrosser, par qui vous voudrez, afin de faire de moi une femelle porteuse et vendez le fruit de mes entrailles, parce que je ne serai qu’un réceptacle à bébé. Faites-moi tatouer, marquer au fer rouge. Humiliez-moi, attachez-moi, fouettez-moi ! Je suis votre chose, votre esclave !

  • Oui, ma belle salope, oui, tu auras tout cela ! Dès lundi, tu donneras ton préavis, afin d’être toujours disponible pour te faire baiser !

  • Oui, mademoiselle !

  • Tu es excitée, salope ?

  • Oh oui, mademoiselle, je suis trempée !

  • Alors, étends-toi sur le dos et écarte les cuisses !

J’obéis immédiatement. Je me doutais de ce que manigançait Claudine. Je l’appréhendais et le désirais en même temps. Doucement, elle commença à me caresser le clitoris, afin de me faire mouiller au maximum. Au bout de deux minutes de caresses, elle commença à introduire un doigt dans mon vagin, bientôt suivi d’un autre, puis d’un troisième. Alors, elle amorça des va et viens dans ma chatte. Je ne tardai pas à haleter. A chaque entrée, ses doigts buttaient contre ma vulve, déclenchant des râles de plaisir. Le traitement dura quelques minutes, le temps que je me fasse à cette pénétration, puis je sentis un nouveau doigt s’ajouter aux autres. Quatre doigts, maintenant, f o r ç a ient ma chatte à s’écarteler. Je lui parlais de mes sensations :

  • Oh, mademoiselle, que c’est bon ! Continuez, j’ai la chatte éclatée, je suis ouverte !

  • Oh ! Non, salope ! Pas encore. tu verras tout à l’heure, quand toute ma main sera entrée, jusqu’au poignet. Là, tu pourras dire que tu seras ouverte ! Encore un peu de patience !

  • Oui mademoiselle ! Continuez ! Ecartelez-moi la chatte ! Explosez-moi le vagin ! Je ne suis qu’une salope, une truie !

Ma maîtresse ne répondit pas, reprenant ses mouvements de piston. Bientôt, je sentis le pouce se joindre aux autres doigts. A chaque mouvement, je sentais la main de Claudine cogner contre l’entrée de mon vagin. J’écartai plus encore les cuisses.

Soudain, sans que rien ne le laisse deviner, mon vagin avala la main tout entière, jusqu’au poignet. J’étais fistée. Ma maîtresse cessa tout mouvement, pour me laisser le temps de m’habituer à la nouvelle possession.

  • Tu sens, ma salope, ta chatte a avalé mon poignet !

  • Oh ! Oh oui, mademoiselle ! je me sens ouverte, béante comme jamais. Je suis remplie de votre main ! Oh, que c’est bon, j’aime ! Baisez-moi, mademoiselle, bourrez-moi la chatte, avec votre main ! Allez-y, baiser votre salope !

  • Tu veux ? Tu veux vraiment ?

  • Oui mademoiselle ! Défoncer votre truie ! Allez-y à fond !

Claudine commença à me pistonner la chatte. Je sentais sa main entrer et sortir dans mon vagin. Moi, de mon côté, je l’encourageais, en lançant des obscénités

  • Argh ! Je suis pleine. Votre truie est pleine mademoiselle ! Baisez-moi ! Plus fort ! Encore ! Je vais jouir, mademoiselle ! Votre salope va jouir sur votre main ! Ohhhhh ! Je … Ça vient ! Je jouiiiiiisssssssss !

En hurlant ma jouissance, je donnai de v i o l ents coups de reins, à la rencontre de la main de ma maîtresse, si bien qu’à plusieurs reprises, celle-ci vint heurter le col de l’utérus.

Enfin, je m’écroulai sur le lit, abrutie de jouissance, trempée de sueur. Lentement, je sentis que Claudine retirait sa main. Celle-ci sortit avec un gros ‘Plop’ obscène, me laissant une impression immense de vide dans le vagin.

Claudine sauta du lit et revint quelques instants plus tard, avec un appareil photo. Elle prit des clichés de ma chatte béante entre mes cuisses écartées.

  • Si tu voyais ta chatte, salope, c’est obscène. Elle est complètement ouverte, béante.

  • Je sais mademoiselle. Je sens un vide extrême en moi. Que c’était bon ! merci mademoiselle, merci !

Je m’emparai de la main fisteuse, toujours trempée de mon plaisir et commençais à la lécher, afin de la nettoyer. Je sentais le goût de ma mouille sur ma langue et son odeur par mes narines. Pendant les cinq minutes qui suivirent, je léchais la main qui m’avait fistée.

  • Oh là, fit ma maîtresse, tu vas me l’user, si tu continues. Rends-moi ma main !

  • Oh mademoiselle, je la vénère, elle m’a donnée tant de plaisir.

  • Tu es folle, ma pauvre salope !

  • Oui mademoiselle, folle de vous !

  • Tu sais que tu es toujours béante ! Cela fait déjà près de cinq minutes que je suis sortie !

Je passais ma main sur ma vulve et tâtais les lèvres. En effet, celles-ci restaient espacées d’au moins quatre centimètres, et lorsque j’introduisis un doigt dans mon vagin, je n’en sentis pas les bords. J’étais vraiment restée ouverte. J’en concevais une excitation folle.

Soudain, je vis Claudine se lever, aller dans la salle de bains et en ressortir avec le grand miroir en pied. Elle le plaça au bord du lit et je compris aussitôt ce qu’elle voulait. Je me mis en face du miroir pour avoir la vue sur ma chatte. Elle était quasiment refermée, à présent. Ma maîtresse vint à côté de moi, après avoir placé la caméra sur un pied et l’avoir cadrée sur moi :

  • Je vais de nouveau te fister, salope ! Mais cette fois, tu seras filmée. J’ai tout cadré, de ton visage à tes genoux.

  • Oh, oui mademoiselle, encore !

Et elle recommença la pénétration, facilitée par la première fois et une lubrification accentuée par la vue de la caméra, filmant ma dégradation. Je couinais comme une truie, lorsqu’elle enfonça sa main au plus profond de mon vagin, venant en butée contre l’utérus. Pendant un petit moment, que j’aurais été bien en peine de déterminer, tant je prenais mon pied, je sentis une modification de la pénétration. En effet, Claudine avait ouvert la main et un de ses doigts cherchait le col de mon utérus. Une fois celui-ci trouvé, elle commença un massage circulaire pour l’assouplir. Je commençais à trembler de désir et à délirer :

  • Oh ! Non, nonnnn ! Siiiiii ! Dilatez mon utérus, baisez-le, mademoiselle. Je sens votre doigt me pénétrer ! Oh ! Quelle salope je suis ! Encore, plus gros, mademoiselle, plus gros ! oh, que c’est bon ! Je … Je vais jouirrrrrrrrr ! Arghhhhhh ! Je jouissssss !

Ma maîtresse dû me plaquer sur le lit de toutes ses f o r c e s, pour que je ne l’expulse pas et que je ne sorte pas du champ de la caméra. Lorsque je me fus calmée, elle recommença à pénétrer mon col. Elle réussit à y enfoncer trois doigts, à les écarter pour le dilater. J’avais l’impression d’accoucher à l’envers, encore que je ne sache pas ce qu’était accoucher. Une nouvelle fois, je sentis la jouissance m’emporter, comme une vague.

  • Oh, mademoiselle, baisez bien votre salope. Mon utérus est ouvert, béant, pour vous recevoir, enfoncer votre poing, écartelez-moi ! Ohhhhhh ! Je jouisssss ! Encorrrrre ! C’est énorme ! Je vais mouriiiiiirrrrrr ! oh, putain, que c’est bonnnn ! Encorrrrre !

A bout de f o r c e et de souffle, je m’écroulais sur le lit. Claudine attendit que je me calme pour retirer sa main. La sensation de vide me parut plus intense encore, et j’avais l’impression d’être ouverte, béante, de la chatte au nombril. Ma maîtresse se leva et, s’emparant de la caméra, commença à faire des gros plans sur la chatte, puis sur mon visage.

  • Tu vas pouvoir te voir, petite salope, en train de te faire fister et aussi de jouir, me dit-elle, en souriant. Maintenant, je filme ta chatte béante. Attends, je vais allumer une lampe et la diriger sur ta chatte ! oh, c’est pas vrai, on voit l’intérieur, on voit ton vagin !

Assommée par la dernière jouissance, je restai là, pantelante, cuisses écartées, yeux fermés, goûtant les commentaires de ma maîtresse. Cinq minutes plus tard, je dormais profondément.

Lorsque je me réveillai, la pendule marquait onze heures. Une envie d’uriner me tenaillait. Je me levai et ressentit aussitôt comme un vide dans mon ventre. Rien de comparable, pourtant, avec le moment où la main de Claudine s’était retirée de mon vagin. J’allai aux WC, puis pris une douche. Lorsque je sortis, ma maîtresse n’était toujours pas revenue. Où était-elle allée ?

J’eus la réponse en entrant dans la cuisine. Un papier, couvert de son écriture se trouvait sur la table. Il disait :

Ma salope chérie,

Ne t’inquiète pas, je suis partie chercher quelques affaires, pour me changer. A compter d’aujourd’hui, je crois que je vais m’installer avec toi.

Lorsque je reviendrais, je pense que nous irons déjeuner dehors, mais pour l’instant, je veux que tu restes à poil. Attend-moi, à genoux dans le couloir, mains dans le dos. Tu écarteras les cuisses largement.

A tout à l’heure, petite putain.

Ta maîtresse, qui t’aime !

Je serrais le papier sur mon cœur, puis le reposais. Je pensais défaillir de bonheur. Mon amour, ma maîtresse chérie avait décidé de venir vivre avec moi. Je me mis à penser à tout ce qui m’était arrivé, depuis deux jours. Certes, ma soumission à Claudine pouvait sembler rapide, immédiate, mais elle était mûrement réfléchie, résultat d’une longue, très longue attente.

Pendant ma jeunesse, j’étais tombée sous la coupe de ma fausse sœur par un remariage, plus âgée que moi de deux ans. Elle m’avait mise à sa merci et je lui étais toute entière dévouée. Je lui léchais les pieds, la chatte, le cul, tout ce qu’elle voulait. Elle m’avait même prêtée à ses copines. La plupart du temps, lorsque nos parents étaient absents, je me retrouvais nue, en train de faire le ménage, ou lécher ma sœur et ses copines. Puis, lorsqu’elle eut vingt ans, elle partit aux Etats Unis.

Alors, frustrée, je me tournais vers les hommes. J’eus bien vite une réputation de salope, qui couchait un soir et larguait rapidement les garçons. Je dus déménager et c’est ainsi que je rencontrai celui qui allait devenir mon mari. Là encore, énorme déception, déception qui allait conduire à notre divorce.

Un an et demi auparavant, j’avais rencontré Claudine. Dès lors, je m’étais mise à fantasmer sur elle. Si un homme n’avait su me soumettre, elle, elle saurait. Nouvelle déception ! Claudine ne semblait guère tentée par la domination. Malgré tous mes appels du pied, rien. Je la laissais décider de tout, adoptais une attitude effacée, afin de lui faire sentir mon désir de la servir.

Et enfin, elle s’était décidée. Elle m’avait même prise de court. Elle m’avait f o r c é e, en quelque sorte. Et je m’étais jetée avec une sorte de rage dans la déchéance qu’elle me promettait. Enfin, les fantasmes de ma jeunesse se réalisaient. Et bien plus encore.

Je repris conscience et regardai l’heure. Douze heures trente. Ma maîtresse n’allait sans doute pas tarder. Je me dirigeai aussitôt dans le couloir et m’agenouillai, prenant la position demandée.

Cinq minutes plus tard, j’entendis une clé tourner dans la serrure. Claudine entra, entourée d’un doux parfum. Comme à son habitude, elle était habillée avec goût, d’un ensemble tailleur pantalon, en lin écru, à ses pieds, des escarpins assortis, laissant dépasser ses orteils verni de frais.

Je me prosternai et embrassai ses pieds. Elle se laissa faire, tendant même ses chevilles, afin de montrer qu’elle appréciait ma soumission. Après un petit moment, elle me repoussa et me dit :

  • Lève-toi ! Habille-toi ! Je t’emmène déjeuner !

Je m’empressai d’aller dans ma chambre afin de m’habiller. Alors que je voulus passer une culotte, Claudine s’en empara et lança, en riant :

  • Non, ma chère, pas de sous-vêtements. Cul nu sous ta robe !

Lorsque je passais la dite robe, je la vis faire la moue et je l’interrogeais du regard.

  • Tu n’as rien de plus sexy ?

  • Sexy, mademoiselle ?

  • Oui, plus court !

  • Plus court ?

Déjà que je la trouvais courte, très courte, car elle m’arrivait à mi-cuisses. Que voulait-elle donc ? Je fus fixée lorsqu’elle reprit :

  • Tu trouves ça court ? Tu n’as rien à ras la motte ?

  • Non mademoiselle !

  • Bon, il va falloir remédier à cela. Une pute habillée comme une bonne sœur, ça ne le fait pas ! Tu n’as pas une robe ou une jupe ouverte devant ?

  • Euh ! Si ! Une jupe longue, boutonnée devant !

  • Montre !

Dès qu’elle la vit, je sus que j’allais devoir la porter. Effectivement, elle me dit :

  • Voilà, ok ! Tu l’enfiles et tu me montres tout ça !

J’obéis et la passais. La jupe était boutonnée jusqu’au genou. Claudine fit la moue et reprit :

  • Retire trois boutons ! Vite !

Je m’exécutais et le vêtement s’ouvrit plus haut qu’à mi-cuisse. Cela ne sembla pas suffire à Claudine, car elle exigea que j’en déboutonne encore deux. Cette fois-ci, la jupe était ouverte juste en dessous de la fourche de mes cuisses. Au moindre mouvement, elle s’ouvrirait, laissant voir ma chatte glabre. Je me sentais gênée, mais cela semblait réjouir ma maîtresse. Elle me fit passer le seul chemisier transparent que je possédais, puis me fit assoir, afin de me maquiller. Lorsqu’elle eut terminé, elle me plaça devant un miroir. Je faillis me retourner pour voir qui était la femme se reflétant dans la glace. Elle m’avait appliqué un maquillage appuyé et je ressemblais à une pute. Je lui fis part de ma consternation :

  • Mais … Mademoiselle, j’ai … J’ai l’air d’une prostituée !

  • Oh là, là, répondit-elle, hilare, que de grands mots ! Tu as l’air de ce que je veux que tu deviennes, une pute. Tu entends, une pute, pas une prostituée ! Répète !

  • Je suis une pute, mademoiselle !

  • Eh bien voilà, ce n’est pas si difficile, si ?

  • N … Non, mademoiselle !

  • Bon ! Allons-y ! C’est moi qui conduis ! Ah ! Mets les mains dans le dos, ça t’éviteras d’avoir l’idée de retenir ta jupe.

A chaque pas, je sentais la jupe bâiller, découvrant mon pubis épilé. En outre, le fait de croiser les bras dans le dos, faisait saillir ma poitrine, la collant plus encore contre le tissu transparent. En baissant les yeux, je voyais les tétons turgescents, tenter de percer le chemisier. Il ne me fallut pas longtemps avant de sentir ma chatte dégouliner. Nous n’étions pas encore arrivés à la voiture que je sentis ma mouille couler le long de mes cuisses. Le fait d’être à la disposition de ma maîtresse m’excitait au plus haut point, ainsi que le fait d’être presque nue.

Dans la voiture, Claudine m’ordonna de garder les mains dans le dos et de bien écarter les cuisses, ce qui eut pour effet de faire glisser les pans de ma jupe et dévoiler entièrement mon entrejambe. D’un geste rapide, elle passa deux doigts sur ma fente et constata mon excitation :

  • Eh bien, ma salope, tu mouilles drôlement !

  • Oui mademoiselle !

  • Ça t’excite, de te montrer comme ça ?

  • Oui mademoiselle !

  • Ça promet ! Tu vas mouiller ta jupe ! comme ça, les gens verront que tu es une salope !

  • Oui mademoiselle !

  • Oui mademoiselle … Oui mademoiselle ! Tu ne sais dire que cela ?

  • Oui … Enfin, non ! Je suis votre salope, votre pute ! Vous pouvez tout exiger de moi !

  • Ça je sais, tu me le répètes assez souvent ! On verra bien, lorsque j’exigerai des choses difficiles !

  • Comme ?

  • Tu verras ! On arrive ! En descendant, tu reboutonneras ta jupe ! Un seul bouton, cela suffira !

  • Bien mademoiselle !

Je descendis d’abord de la voiture, puis, debout devant la portière, je rattachai le bouton. Lorsque je relâchai le tissu, je constatai que si l’on ne voyait plus mon sexe, il ne fallait que je lève trop les bras, sinon … De plus, en levant les yeux pour regarder vers le restaurant, je constatai que de nombreux regards étaient fixés sur moi, à travers la verrière. Je me mordis les lèvres et baissai la tête. Savoir que mon intimité avait été l’objet d’une telle attention, m’excitait et me faisait honte ne même temps.

Claudine me demanda, après avoir, elle aussi, jeter un coup d’œil vers la baie vitrée :

  • Ça te plait, ma petite pute, d’être l’objet de toute cette attention ?

  • Oui, mademoiselle … J’aimerais …

  • Oui ?

  • J’aimerais me faire baiser par toutes les personnes présentes.

  • Toutes ?

  • Oui mademoiselle !

  • Même les femmes ?

  • Oh oui !

  • Tu es vraiment une traînée … Viens, allons déjeuner !

M’entraînant à sa suite, elle traversa le parking. C’est alors que je remarquais que la plupart des voitures étaient garées dans le sens inverse de la nôtre. Ma maîtresse s’était donc placée de manière à ce que je sois visible depuis le restaurant. Dans le cas contraire, la voiture m’aurait dissimulée, lors de mon rhabillage.

En approchant de la porte d’entrée du restaurant, je vis que deux hommes, à une table, ne me quittaient pas des yeux. Je les fixais à mon tour. C’étaient deux hommes, un peu quelconque, plutôt ‘beauf’, rondouillards, bedonnant. Toutefois, leurs vêtements semblaient de bonne coupe, quoique sportive. Je voyais bien que leurs yeux étaient fixés sur le haut de mes cuisses, là où ma jupe s’ouvrait à chacun de mes pas. Je savais qu’ils n’avaient sans doute rien manqué de mon exhibition, à l’instant, en sortant de la voiture. Je les voyais échanger des commentaires sur moi, sans aucun doute.

Je les perdis de vue à notre entrée dans la salle, mais je savais, je sentais qu’ils ne me quittaient pas des yeux. Je sentais mon sexe s’humidifier, à l’idée de leurs regards posé sur mes fesses, qu’ils savaient nues. Je ne parvenais pas à véritablement comprendre ce qui se passait en moi. Voilà deux hommes, à qui je n’aurais pas jeté un seul regard, il y avait encore quelques jours, qui maintenant m’excitaient fortement. J’en arrivais même à m’imaginer avec eux. Etais-je véritablement devenue une salope, comme le disait si bien Claudine. N’avait-elle fait que révéler ma véritable nature ?

  • Eh bien ? S’impatienta Claudine, tu me suis ?

Elle avait déjà commencé à suivre le maître d’hôtel, pendant que je restais là, sous l’œil concupiscent des deux hommes.

  • Ou … oui, mademoiselle, fis-je sous l’effet de la surprise.

Je la rejoignis à grandes enjambées, ce qui faisait écarter plus encore les pans de ma jupe. En passant entre les tables, je perçus nettement les regards égrillards des hommes, plus ou moins discrets, et ceux, nettement réprobateurs des femmes.

Ma maîtresse choisit une table, près d’une verrière, sur une estrade. Elle me fit asseoir en face d’elle, face à la salle. Je me doutais que la situation surélevée de notre table permettait à tout un chacun de contempler mes cuisses. Par un accès de pudeur soudain, je serrais les cuisses, jusqu’à ce que Claudine me reprenne :

  • Tu as les cuisses serrées ? Chuchota-t-elle, lorsque le maître d’hôtel s’éclipsa, après nous avoir donné la carte des repas.

  • Oui mademoiselle !

  • Cesse tout de suite ! Prends ta position de salope !

  • Mais … ils … ils ont tout voir !

  • Et alors ? Tu te souviens ? Tu m’obéiras en tout ! Alors, exécution !

  • Oui mademoiselle !

Et j’écartais les cuisses, dévoilant ainsi mon intimité à toute la salle. Je ne tardai pas à voir des hommes tourner la tête vers nous, sous l’air agacé de nombreuses femmes, et surtout sous les yeux, tout proche des deux gros hommes. Je savais que, de là où ils se tenaient assis, ils avaient une vue parfaite sur ma chatte, que je sentais trempée. Ils devaient voir la luisance de mes lèvres intimes et peut-être même, mon clitoris, dardé hors de son capuchon. Bien que, pour ce dernier, je n’en sois pas sûre.

pttsx0814

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement